OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
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zoubida
sorlac
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OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
Voici la copie d'un excellent article du journal "L'Equipe
1983-2005 : De l'anonymat à la toute puissance
Comment Lyon, sorti de la D2 par Jean-Michel Aulas, est devenu n°1 en France
A l'issue de la saison 1982-83, l'OL descend en D2 trente ans après l'avoir quittée. Le buteur yougoslave, Siman Nokolic (photo), si prolifique la saison précédente, n'est plus en réussite. Le milieu de terrain, qui faisait la force du groupe, a perdu de sa magie. Les joueurs clés, Alain Moizan, Jean Tigana et Daniel Xuereb ont été vendus. Le club restera six ans dans cette D2 à deux groupes qui oblige à terminer à la première place pour être certain de la montée.
En 1987, Jean-Michel Aulas, jeune chef d'entreprise de la région, remplace Charles Mighirian au poste de président. Aulas, qui a l'ambition de remonter en D1 le plus tôt possible, rappelle l'année suivante au club deux jeunes retraités qui avaient su faire vibrer Gerland dans les années 70 : Raymond Domenech, qui devient entraîneur, et Bernard Lacombe, directeur sportif.
Le duo Domenech-Lacombe lance dans le grand bain des jeunes joueurs qui assureront sans souffrir la continuité en D1 (NGotty, Garde, Durix, Fugier, Breton, Genesio...). Le tout encadré par un buteur providentiel, Eugène Kabongo (sur le cliché). L'alchimie fonctionne. Lyon devient champion de D2 en 1989 et retrouve l'élite pour la saison 1989-1990. Les débuts sont durs : un 4-1 encaissé à Marseille. Dans les temps définis par leur président, les Lyonnais retrouvent l'Europe grâce à une cinquième place en Championnat à l'issue de la saison 1990-91. Après un tour passé contre Vajxö, les Turcs de Trabzonspor mettent rapidement fin à la première aventure européenne du club depuis seize ans (3-4, 1-4). En 1992, Aulas prend un risque en confiant les rênes de l'équipe à un autre grand ancien, Jean Tigana, 35 ans, sans expérience d'entraîneur jusque là. Celui qui disputait encore, trois ans plus tôt, une finale européenne avec l'OM, façonne en trois ans l'équipe lyonnaise la mieux classée de son histoire : 2e de D1 à l'issue de l'exercice 1994-1995. La stabilité, déjà.
Derrière l'intouchable FC Nantes version Suaudeau, Lyon termine la saison 1994-95 à la deuxième place. A la base de ce succès, un savant mélange de joueurs d'expérience (Olmeta, Amoros, Sassus) et de jeunes formés au club (Laville, Deplace, Roy). Surtout, l'OL fait émerger celui que l'on présente alors comme le nouveau Papin, Florian Maurice, lui aussi formé au club. Il inscrit 15 buts pendant la saison (18 la suivante).
1983-2005 : De l'anonymat à la toute puissance
Comment Lyon, sorti de la D2 par Jean-Michel Aulas, est devenu n°1 en France
A l'issue de la saison 1982-83, l'OL descend en D2 trente ans après l'avoir quittée. Le buteur yougoslave, Siman Nokolic (photo), si prolifique la saison précédente, n'est plus en réussite. Le milieu de terrain, qui faisait la force du groupe, a perdu de sa magie. Les joueurs clés, Alain Moizan, Jean Tigana et Daniel Xuereb ont été vendus. Le club restera six ans dans cette D2 à deux groupes qui oblige à terminer à la première place pour être certain de la montée.
En 1987, Jean-Michel Aulas, jeune chef d'entreprise de la région, remplace Charles Mighirian au poste de président. Aulas, qui a l'ambition de remonter en D1 le plus tôt possible, rappelle l'année suivante au club deux jeunes retraités qui avaient su faire vibrer Gerland dans les années 70 : Raymond Domenech, qui devient entraîneur, et Bernard Lacombe, directeur sportif.
Le duo Domenech-Lacombe lance dans le grand bain des jeunes joueurs qui assureront sans souffrir la continuité en D1 (NGotty, Garde, Durix, Fugier, Breton, Genesio...). Le tout encadré par un buteur providentiel, Eugène Kabongo (sur le cliché). L'alchimie fonctionne. Lyon devient champion de D2 en 1989 et retrouve l'élite pour la saison 1989-1990. Les débuts sont durs : un 4-1 encaissé à Marseille. Dans les temps définis par leur président, les Lyonnais retrouvent l'Europe grâce à une cinquième place en Championnat à l'issue de la saison 1990-91. Après un tour passé contre Vajxö, les Turcs de Trabzonspor mettent rapidement fin à la première aventure européenne du club depuis seize ans (3-4, 1-4). En 1992, Aulas prend un risque en confiant les rênes de l'équipe à un autre grand ancien, Jean Tigana, 35 ans, sans expérience d'entraîneur jusque là. Celui qui disputait encore, trois ans plus tôt, une finale européenne avec l'OM, façonne en trois ans l'équipe lyonnaise la mieux classée de son histoire : 2e de D1 à l'issue de l'exercice 1994-1995. La stabilité, déjà.
Derrière l'intouchable FC Nantes version Suaudeau, Lyon termine la saison 1994-95 à la deuxième place. A la base de ce succès, un savant mélange de joueurs d'expérience (Olmeta, Amoros, Sassus) et de jeunes formés au club (Laville, Deplace, Roy). Surtout, l'OL fait émerger celui que l'on présente alors comme le nouveau Papin, Florian Maurice, lui aussi formé au club. Il inscrit 15 buts pendant la saison (18 la suivante).
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
En conflit relationnel quasi permanent avec Bernard Lacombe et Jean-Michel Aulas, Jean Tigana, le géniteur de cette équipe épanouie, quitte le club en 1995. Plus discret, Guy Stephan le remplace. Dans la foulée, les Lyonnais réussissent un exploit retentissant en éliminant la Lazio de Rome en 16e de finale de la Coupe de l'UEFA (2-1, 2-0). L'Europe découvre Ludovic Giuly.
La qualité de la formation lyonnaise s'impose quand un lutin de 19 ans, Ludovic Giuly, affole la défense romaine lors d'un Lazio - Lyon historique (0-2). Lancé par Tigana, pas toujours utilisé par Guy Stephan, déplacé côté droit par Bernard Lacombe, il ne trouvera jamais sa place à Lyon malgré son très bon contact avec le public de Gerland. Il quitte l'OL pour Monaco en janvier 1998 pour 44 millions de francs, somme considérable à l'époque.
Rattrapé par ses démons des années 80, Lyon laisse partir ses talents. L'ordinaire redevient le quotidien à Gerland. Seul fait d'armes notable : une finale de la Coupe de la Ligue en 1996, perdue aux tirs au but contre Metz (0-0, 4-5, photo). Guy Stephan n'obtient rien de mieux qu'une 11e place en Championnat avant qu'un début de saison suivante calamiteux, ponctué par une défaite 0-7 à Auxerre, ne précipite l'arrivée de Bernard Lacombe à la tête de l'équipe. Son seul changement de coach en cours de saison, se vante souvent Aulas.
Sous l'ère Lacombe (1997-2000), Lyon bat l'Inter à Milan (2-1) sans pouvoir éviter l'élimination en 16e de finale de la Coupe de l'UEFA (1-3 au retour, en novembre 1997), puis atteint les quarts de finale de la Coupe de l'UEFA en 1999. L'équipe termine deux fois à la troisième place du Championnat (1999, 2000), double son budget et fait revenir Sonny Anderson en France contre 116 millions de francs. Un record à l'époque, qui ponctue une lente montée en puissance et annonce le début d'une nouvelle ère : celle des promesses tenues. Lyon touche du doigt l'extrême exigence du niveau européen en étant éliminé du tour préliminaire de la Ligue des champions par les Slovènes de Maribor (0-1, 0-2).
Doté d'une assise économique solide et de structures performantes, l'OL veut maintenant récolter le titre de champion qui manque à son palmarès. La qualification pour la deuxième phase de la Ligue des champions et la victoire en Coupe de la Ligue en 2001 (photo, contre Monaco 2-1 a.p.) viennent conforter le staff technique lyonnais, désormais dirigé par Jacques Santini, dans l'idée que le club a bien franchi un palier. Il ne manque plus qu'un titre de champion de France pour récompenser toutes ces années de travail. C'est une question de mois...
Après quinze ans de présidence Aulas, Lyon décroche enfin son Graal en 2002. Distancé par Lens toute la saison, Lyon bat le Racing (3-1) lors de la dernière journée. En deux saisons, Jacques Santini, arrivé en 1999, a réussi à bâtir une équipe qui a donné à Lyon ses deux seuls trophées en vingt-cinq années. Avec, en prime, le premier Championnat de France de l'histoire du club. Pas mal pour un entraîneur souvent critiqué, nommé dans la foulée sélectionneur national.
Paul Le Guen, pour sa première saison à la tête de l'équipe, reprend dans ses grandes lignes l'équipe bâtie par Jacques Santini. Malgré deux désillusions européennes (pas de deuxième phase de C1, échec contre Denizlispor en C3), malgré aussi un échec en Coupe contre Libourne-Saint-Seurin (CFA), Lyon remporte son deuxième titre consécutif en 2003. Sonny Anderson quitte le club après avoir inscrit 26 buts en 49 matches (deux saisons).
Troisième titre consécutif pour Lyon en 2004, le deuxième pour Paul Le Guen, qui renforce sa position en envoyant l'équipe en quart de finale de la Ligue des champions, battue par le FC Porto, futur vainqueur (0-2, 2-2). Une génération s'en va : Dhorasoo (photo), Müller, Luyindula, Carrière, Deflandre, Edmilson. Récoltant le travail de deux saisons et d'un marché des transferts réussi, l'entraîneur lyonnais construit en 2004 la "Formule 1" qui rêve d'un succès en Ligue des champions.
Lyon devient, le 8 mai 2005, le troisième club français à remporter quatre titres consécutifs, après Saint-Etienne (1967-1970) et Marseille (1989-1992). Paul Le Guen choisit, au grand dam des dirigeants et des joueurs, de quitter Lyon sur ce trophée. Coupet, Caçapa, Govou et Juninho ont participé à la conquête des quatre titres.
Pour la première fois au cours de la saison 2004-2005, Lyon donne l'impression d'être capable de remporter une Ligue des champions. Il fait déjà partie des clubs qui comptent en Europe. Au moment de son élimination en quart de finale contre le PSV Eindhoven, aux tirs au but, Lyon a terminé en tête de sa poule devant Manchester et laminé le Werder Brême en huitième de finale (3-0, 7-2). L'objectif 2005-2006 est clair : disputer la finale de la Ligue des champions au Stade de France. C'est sans doute possible à condition d'éviter la fuite des talents. Essien, Diarra, Malouda, Juninho, Wiltord, Abidal et Cris, entre autres, sont très courtisés pour le rôle-clef qu'ils ont joué dans cette équipe puissante et rapide. Moderne, en somme.
La qualité de la formation lyonnaise s'impose quand un lutin de 19 ans, Ludovic Giuly, affole la défense romaine lors d'un Lazio - Lyon historique (0-2). Lancé par Tigana, pas toujours utilisé par Guy Stephan, déplacé côté droit par Bernard Lacombe, il ne trouvera jamais sa place à Lyon malgré son très bon contact avec le public de Gerland. Il quitte l'OL pour Monaco en janvier 1998 pour 44 millions de francs, somme considérable à l'époque.
Rattrapé par ses démons des années 80, Lyon laisse partir ses talents. L'ordinaire redevient le quotidien à Gerland. Seul fait d'armes notable : une finale de la Coupe de la Ligue en 1996, perdue aux tirs au but contre Metz (0-0, 4-5, photo). Guy Stephan n'obtient rien de mieux qu'une 11e place en Championnat avant qu'un début de saison suivante calamiteux, ponctué par une défaite 0-7 à Auxerre, ne précipite l'arrivée de Bernard Lacombe à la tête de l'équipe. Son seul changement de coach en cours de saison, se vante souvent Aulas.
Sous l'ère Lacombe (1997-2000), Lyon bat l'Inter à Milan (2-1) sans pouvoir éviter l'élimination en 16e de finale de la Coupe de l'UEFA (1-3 au retour, en novembre 1997), puis atteint les quarts de finale de la Coupe de l'UEFA en 1999. L'équipe termine deux fois à la troisième place du Championnat (1999, 2000), double son budget et fait revenir Sonny Anderson en France contre 116 millions de francs. Un record à l'époque, qui ponctue une lente montée en puissance et annonce le début d'une nouvelle ère : celle des promesses tenues. Lyon touche du doigt l'extrême exigence du niveau européen en étant éliminé du tour préliminaire de la Ligue des champions par les Slovènes de Maribor (0-1, 0-2).
Doté d'une assise économique solide et de structures performantes, l'OL veut maintenant récolter le titre de champion qui manque à son palmarès. La qualification pour la deuxième phase de la Ligue des champions et la victoire en Coupe de la Ligue en 2001 (photo, contre Monaco 2-1 a.p.) viennent conforter le staff technique lyonnais, désormais dirigé par Jacques Santini, dans l'idée que le club a bien franchi un palier. Il ne manque plus qu'un titre de champion de France pour récompenser toutes ces années de travail. C'est une question de mois...
Après quinze ans de présidence Aulas, Lyon décroche enfin son Graal en 2002. Distancé par Lens toute la saison, Lyon bat le Racing (3-1) lors de la dernière journée. En deux saisons, Jacques Santini, arrivé en 1999, a réussi à bâtir une équipe qui a donné à Lyon ses deux seuls trophées en vingt-cinq années. Avec, en prime, le premier Championnat de France de l'histoire du club. Pas mal pour un entraîneur souvent critiqué, nommé dans la foulée sélectionneur national.
Paul Le Guen, pour sa première saison à la tête de l'équipe, reprend dans ses grandes lignes l'équipe bâtie par Jacques Santini. Malgré deux désillusions européennes (pas de deuxième phase de C1, échec contre Denizlispor en C3), malgré aussi un échec en Coupe contre Libourne-Saint-Seurin (CFA), Lyon remporte son deuxième titre consécutif en 2003. Sonny Anderson quitte le club après avoir inscrit 26 buts en 49 matches (deux saisons).
Troisième titre consécutif pour Lyon en 2004, le deuxième pour Paul Le Guen, qui renforce sa position en envoyant l'équipe en quart de finale de la Ligue des champions, battue par le FC Porto, futur vainqueur (0-2, 2-2). Une génération s'en va : Dhorasoo (photo), Müller, Luyindula, Carrière, Deflandre, Edmilson. Récoltant le travail de deux saisons et d'un marché des transferts réussi, l'entraîneur lyonnais construit en 2004 la "Formule 1" qui rêve d'un succès en Ligue des champions.
Lyon devient, le 8 mai 2005, le troisième club français à remporter quatre titres consécutifs, après Saint-Etienne (1967-1970) et Marseille (1989-1992). Paul Le Guen choisit, au grand dam des dirigeants et des joueurs, de quitter Lyon sur ce trophée. Coupet, Caçapa, Govou et Juninho ont participé à la conquête des quatre titres.
Pour la première fois au cours de la saison 2004-2005, Lyon donne l'impression d'être capable de remporter une Ligue des champions. Il fait déjà partie des clubs qui comptent en Europe. Au moment de son élimination en quart de finale contre le PSV Eindhoven, aux tirs au but, Lyon a terminé en tête de sa poule devant Manchester et laminé le Werder Brême en huitième de finale (3-0, 7-2). L'objectif 2005-2006 est clair : disputer la finale de la Ligue des champions au Stade de France. C'est sans doute possible à condition d'éviter la fuite des talents. Essien, Diarra, Malouda, Juninho, Wiltord, Abidal et Cris, entre autres, sont très courtisés pour le rôle-clef qu'ils ont joué dans cette équipe puissante et rapide. Moderne, en somme.
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
En treize ans on est passé de Raymond Domenech à Paul Le Guen en passant par Jean Tigana, Bernard Lacombe Guy Stephan, Jacques Santini
Coté joueurs ce n'est pas mal non plus
Alain Moizan, Jean Tigana et Daniel Xuereb
NGotty, Garde, Durix, Fugier, Breton, Genesio...
Eugène Kabongo
Olmeta, Amoros, Sassus et de jeunes formés au club Laville, Deplace, Roy, Florian Maurice
et Ludovic Giuly,
Sonny Anderson
Alain Cavéglia
Dhorasoo, Müller, Luyindula, Carrière, Deflandre, Edmilson
Coupet, Caçapa, Govou et Juninho
Cris et Nilmar, Essien, Diarra, Malouda, Wiltord, Abidal
Pas mal ! et j'en oublies !
Coté joueurs ce n'est pas mal non plus
Alain Moizan, Jean Tigana et Daniel Xuereb
NGotty, Garde, Durix, Fugier, Breton, Genesio...
Eugène Kabongo
Olmeta, Amoros, Sassus et de jeunes formés au club Laville, Deplace, Roy, Florian Maurice
et Ludovic Giuly,
Sonny Anderson
Alain Cavéglia
Dhorasoo, Müller, Luyindula, Carrière, Deflandre, Edmilson
Coupet, Caçapa, Govou et Juninho
Cris et Nilmar, Essien, Diarra, Malouda, Wiltord, Abidal
Pas mal ! et j'en oublies !
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
Ridiculisés les Marseillais !
Lille écrasé à 14 points
Monaco torpillé
le 4 e à vingt quatre points.
Qui ose dire que la meilleure équipe de l'année est untel ou autre.
Les gars reveillez vous.
OL quatre fois champions
Lille écrasé à 14 points
Monaco torpillé
le 4 e à vingt quatre points.
Qui ose dire que la meilleure équipe de l'année est untel ou autre.
Les gars reveillez vous.
OL quatre fois champions
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
lille : grosse et belle surprise, avec un peu de renfort et la meme mentalité que cette année lille pourra essayer de se qualifier pour l'UEFA grace a la ligue des champions et pourquoi pas gagner la C3 . Mais tous ca c'est encore loin : attendons la fin du mercatto pour voir quel sont les ambition nordiste pour la saison 2005-2006 !
allez sochaux !
allez sochaux !
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
zoubida a écrit:
Que vous avez tout intérêt à ne pa m'échauder les esgourdes vous HEIN!!!
Zou en colère.
C'est le coté imperialiste de Sorlac !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Il faut s'y faire, mais Lille a perdu des matchs à domicile contre des equipes plus faibles, à l'arrivée cela pese tres lourd ( au moins 6 points).
Laverdure- moulin à paroles
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Date d'inscription : 13/09/2004
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
je m'en souviendrai longtemps de celle la!une défaite 0-7 à Auxerre
Bon,depuis,l'OL vient nous battre régulierement a auxerre,preuve qu'ils n'ont jamais digéré.3-0,ça fait mal,quand meme!
corto maltese 89- moulin à paroles
-
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Date d'inscription : 13/09/2004
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
Corto tu vas pleurer Kalu est en partance....pour Lyon !
On ne prête qu'aux riches !
Lyon, Lyon, ton univers impitoyable !!!!
On ne prête qu'aux riches !
Lyon, Lyon, ton univers impitoyable !!!!
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
Il-y-a-t-il un Nantais dans la salle ?
Parce que Toulalan est aussi en partance pour Lyon.
L'un des clubs que j'apprecie le plus va rentrer dans un spirale infernale !
Mais je ne m'en fais pas trop car cela fait longtemps qu'ils ont misé sur leur excellent centre de formation.
Parce que Toulalan est aussi en partance pour Lyon.
L'un des clubs que j'apprecie le plus va rentrer dans un spirale infernale !
Mais je ne m'en fais pas trop car cela fait longtemps qu'ils ont misé sur leur excellent centre de formation.
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
sorlac a écrit:Corto tu vas pleurer Kalu est en partance....pour Lyon !
On ne prête qu'aux riches !
Lyon, Lyon, ton univers impitoyable !!!!
Je suis au courant...Pas grave,on va récuperer son frangin(qui est aussi bon).
corto maltese 89- moulin à paroles
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Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
Aulas,seigneur tout puissant,ton regne s'achevera bien un jour... Lyon se comporte comme l'om de la grande époque et pille tout se qui traine!Euh,faudrait peut etre nous laisser quelques joueurs,de quoi constituer une (bonne) équipe.
corto maltese 89- moulin à paroles
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Date d'inscription : 13/09/2004
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
Comme Nantes et l'OL vous avez un bon centre de formation;corto maltese 89 a écrit:Aulas,seigneur tout puissant,ton regne s'achevera bien un jour... Lyon se comporte comme l'om de la grande époque et pille tout se qui traine!Euh,faudrait peut etre nous laisser quelques joueurs,de quoi constituer une (bonne) équipe.
Ouf sauvé!
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
Sorlac,que penses-tu de houiller?Va-t'il faire l'affaire?J'ai en mémoire sa brillante carriere a la tete de l'équipe de france!
corto maltese 89- moulin à paroles
-
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Date d'inscription : 13/09/2004
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
sorlac a écrit:J'aime pas ! J'aurais préféré Puel
ben oui, mais puel a de l'ambition
lyon-noeux les mines c'est kif-kif
jeasse- moulin à paroles
- Nombre de messages : 1142
Date d'inscription : 14/09/2004
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
Jeasse c'est flatteur pour Noeux les Mines !
Dis-moi Jeasse, 2002 contre Lens, 2003 contre Monaco, 2004 contre PSG, 2005 contre Lille.
Si la cycle continue, ni Lille ni Lens ne seront dans le wagon de tête du championnar 2006.
Une certitude Lyon y sera !
Puel est le dernier entraîneur a avoir battu l'OL c'était avec Monaco.
Tu devrais lire la presse specialisée et tu verras que Puel s'inquiète sur le devenir proche de l'équipe nordiste
Dis-moi Jeasse, 2002 contre Lens, 2003 contre Monaco, 2004 contre PSG, 2005 contre Lille.
Si la cycle continue, ni Lille ni Lens ne seront dans le wagon de tête du championnar 2006.
Une certitude Lyon y sera !
Puel est le dernier entraîneur a avoir battu l'OL c'était avec Monaco.
Tu devrais lire la presse specialisée et tu verras que Puel s'inquiète sur le devenir proche de l'équipe nordiste
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
sorlac a écrit:Jeasse c'est flatteur pour Noeux les Mines !
Dis-moi Jeasse, 2002 contre Lens, 2003 contre Monaco, 2004 contre PSG, 2005 contre Lille.
Si la cycle continue, ni Lille ni Lens ne seront dans le wagon de tête du championnar 2006.
Une certitude Lyon y sera !
Puel est le dernier entraîneur a avoir battu l'OL c'était avec Monaco.
Tu devrais lire la presse specialisée et tu verras que Puel s'inquiète sur le devenir proche de l'équipe nordiste
Qu'avez-vous à dire, Bordeaux à 14 points, Rennes à 19 points, Lille à 20 points, Auxerre à 22, Marseille à 24 et Paris à 25.
On peut mieux faire. Dans tous les cas c'est le titre le plus facile et un authentique exploit le 5e titre est dans la poche!
Qui d'autre l'a-t-il fait ?
En route pour le 6e, 7e, 8e car au rythme de l'opposition française, c'est parti pour la décennie
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
Auxerre à 22
Mais on se rapproche de lyon!Ben oui,sur la pencarte de l'autoroute,la distance est de 300km!
corto maltese 89- moulin à paroles
-
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Date d'inscription : 13/09/2004
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
Qu'avez-vous à dire, Bordeaux à 14 points, Rennes à 19 points, Lille à 20 points, Auxerre à 22, Marseille à 24 et Paris à 25.
On peut mieux faire. Dans tous les cas c'est le titre le plus facile et un authentique exploit le 5e titre est dans la poche!
Qui d'autre l'a-t-il fait ?
En route pour le 6e, 7e, 8e car au rythme de l'opposition française, c'est parti pour la décennie
Sur le plan européen,c'est pas la mème chanson,il faut etre réaliste...Lyon stagne,et la france devient trop petite pour les gones.Une suggestion:acheter un vrai avant-centre d'envergure internationale,merçi.
corto maltese 89- moulin à paroles
-
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Date d'inscription : 13/09/2004
Re: OL FIVE c'est bien Olympique Lyonnais 5
On s'y attelle ! Drogba est dans le collimateur.corto maltese 89 a écrit:Qu'avez-vous à dire, Bordeaux à 14 points, Rennes à 19 points, Lille à 20 points, Auxerre à 22, Marseille à 24 et Paris à 25.
On peut mieux faire. Dans tous les cas c'est le titre le plus facile et un authentique exploit le 5e titre est dans la poche!
Qui d'autre l'a-t-il fait ?
En route pour le 6e, 7e, 8e car au rythme de l'opposition française, c'est parti pour la décennie
Sur le plan européen,c'est pas la mème chanson,il faut etre réaliste...Lyon stagne,et la france devient trop petite pour les gones.Une suggestion:acheter un vrai avant-centre d'envergure internationale,merçi.
Corto, je ne parlais pas de l'Europe, !
Dans un post précédent, je suis assez sévère avec eux !
Je pense en toute sincerité que nous avons été trés suffisants à Milan.
Comme on dit chez-nous, c'est un prêté pour un vomi !
La saison prochaine on se fait les Berlusconi's boys comme des couillons !
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