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Message par Taranis Mar 22 Mar - 23:23

Pierre Mendes-France : “L’abdication d’une démocratie peut prendre deux formes, soit elle recourt à une dictature interne par la remise de tous les pouvoirs à un homme providentiel, soit à la délégation de ses pouvoirs à une autorité extérieure laquelle au nom de la technique exercera en réalité la puissance politique, car au nom d’une saine économie on en vient aisément à dicter une politique monétaire, budgétaire, sociale, finalement une politique au sens du mot, nationale et internationale”.

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Message par Llorse Mer 23 Mar - 1:12

c'est bien pour ça que je suis contre l'ultra liberalisme...

Llorse
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Message par Laverdure Mer 23 Mar - 6:45

Taranis a écrit:Pierre Mendes-France : “L’abdication d’une démocratie peut prendre deux formes, soit elle recourt à une dictature interne par la remise de tous les pouvoirs à un homme providentiel, soit à la délégation de ses pouvoirs à une autorité extérieure laquelle au nom de la technique exercera en réalité la puissance politique, car au nom d’une saine économie on en vient aisément à dicter une politique monétaire, budgétaire, sociale, finalement une politique au sens du mot, nationale et internationale”.
Exact, nous sommes dans le deuxieme cas. De toute maniere l'Europe a été definie des le depart par des banquiers et des affairistes, jamais comme une democratie. D'avoir choisi VGE l'inventeur de la TVA et joailler amateur en dit plus qu'un long discours...
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Message par Proudhon Mer 23 Mar - 17:59

Llorse a écrit:c'est bien pour ça que je suis contre l'ultra liberalisme...

AHHH BONNNNNNNN !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! VOYEZ-VOUS CA !!!!!!!!!!!!
mdr mdr mdr
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Message par corto maltese 89 Mer 23 Mar - 18:07

Llorse a écrit:c'est bien pour ça que je suis contre l'ultra liberalisme...

Tu es contre,mais en défendant les bases meme de cette société...Le PS ne remet pas en cause"l'ultra libéralisme",il me semble!
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Message par Laverdure Jeu 24 Mar - 8:34

corto maltese 89 a écrit:
Tu es contre,mais en défendant les bases meme de cette société...Le PS ne remet pas en cause"l'ultra libéralisme",il me semble!

mercredi 23 mars 2005, 19h18
Le PS se résigne à une campagne à deux voix


PARIS (AFP) - Le Parti socialiste s'est résolu de facto à une campagne à deux voix pour le référendum européen du 29 mai: l'une, officielle, pour le oui, l'autre, condamnée avec force par les instances nationales du parti mais toujours aussi remuante, pour le non.
En se contentant d'exiger mardi soir des porte-drapeaux du non qu'ils renoncent à engager le nom du PS dans leur combat - ce à quoi ils ont obtempéré -, le Premier secrétaire François Hollande, et le Bureau national (BN) à une forte majorité (36 voix pour, 25 abstentions) ont pris acte de l'impossibilité de parvenir à un compromis dans la campagne sur le traité constitutionnel.


"Il était absolument impossible de sortir de la réunion de mardi soir avec une synthèse", a constaté le député Bruno Le Roux, proche de M. Hollande.
Au sein de la majorité du parti, certains reprochent au Premier secrétaire d'avoir créé une attente artificielle pour avoir lâché dès dimanche que "des décisions" seraient prises 48 heures plus tard pour remettre de l'ordre dans un parti tiré à hue et à dia.


"Cette annonce était un peu mal à propos", reconnaît un membre de l'entourage du Premier secrétaire qui invoque "des difficultés à la fois politiques et juridiques" à décider de sanctions dans le cadre du BN.
"On est passé en deux jours de la sanction à la non-sanction", observe Manuel Valls, rallié au oui depuis la fin janvier. "Dire que Jean-Luc Mélenchon n'engage pas le parti est une mascarade, tout le monde sait qu'il est socialiste!", ajoute un député.

Une personnalité de premier plan de la majorité déplore de la part du numéro un socialiste "une erreur" qui a consisté "à prendre début février une circulaire sur la discipline dans la campagne et à ne pas l'appliquer". Dès lors que le mal était fait, la "condamnation solennelle" prononcée mardi soir était "la bonne décision" car "on ne va quand même pas faire un schisme dans le parti", ajoute-t-elle.

A la direction du PS, on convient que "la situation est inquiétante", le dirigeant de la gauche du parti Henri Emmanuelli étant venu grossir les rangs des rebelles en mettant sur pied localement des "collectifs socialistes pour le non", alors que deux sondages viennent de placer le non en tête des intentions de vote et en gros progrès dans l'électorat de gauche.

Pour un ancien ministre, partisan du oui, le numéro un socialiste a trop pensé ces derniers mois à 2007 et pas assez à la campagne référendaire. "Son intérêt est de jouer collectif", souligne-t-il.

Le député-maire d'Evry Manuel Valls, qui se déclare "solidaire du Premier secrétaire", regrette que M. Hollande n'ait "pas tenté, même si c'était difficile, un rassemblement du parti après le référendum interne de décembre 2004, en essayant de mieux intégrer les préoccupations du non", notamment dans la campagne référendaire.

Après avoir paru ne pas faire de distinguo entre le oui de droite et le oui de gauche ("c'est le même", disait il y a dix jours Daniel Vaillant, proche de M. Hollande), les partisans du oui infléchissent en tout cas leur discours. "L'Europe sociale passe par le oui", affirme François Rebsamen, numéro trois du parti, dans la dernière livraison de la Lettre du oui socialiste.

Les partisans du non, eux, continuent sans complexe sur leur lancée : Marc Dolez tenait dès mercredi une conférence de presse pour le non avec deux membres du Conseil national, avant un débat avec des dirigeants du non d'autres formations de gauche. Henri Emmanuelli rendait pour sa part visite près de Lyon à des salariés de Bosch.

Dans un referendum sur un texte c'est chaque citoyen qui doit se determiner pas un parti qui lui edite des listes pour gerer. La position d'un syndicat est plus legitime du fait qu'il associe une mise en commun de reflexions de gens n'ayant aucun objectif de carriere.
Depuis le temps que le PS est sorti de ses bases populaires et melange les genres, ils ont perdu toute ligne claire.
La droite a un denominateur commun, le Fric.
La gauche n'a plus que les carrieres de Hollande, Fabius, DSK, Aubry et leur bouffon (J.Lang), le social il y a longtemps qu'ils l'ont oublié.
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