Morgane , la politique et le temps des cerises...
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Morgane , la politique et le temps des cerises...
Rappel du premier message :
Portrait
Morgane Moalic, 17 ans, lycéenne. Membre des Jeunesses communistes révolutionnaires, issue d'une famille militante, elle sera en première ligne mardi dans la manif contre la loi Fillon.
Lutte de salle de classe
Par Judith PERRIGNON LeMonde
mars 2005
A la dernière manif lycéenne, elle était debout sur un camion. Elle criait «De l'argent, y en a dans les poches du patronat» ou «Chirac-Fillon démission». Des grands mots qui lui ont cassé la voix et qui lui valaient les regards agacés des meneurs sages, «ils montaient la musique. C'était à qui arrivera à parler plus fort que l'autre», mais qui la mettent en joie, parce qu'elles sont rares les certitudes à 17 ans.
Le mégaphone, c'est elle qui l'a apporté aux premiers jours de la contestation au lycée Pablo-Picasso de Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne). Morgane est équipée. Elle fait de la politique. Elle est membre des Jeunesses communistes révolutionnaires, branche de la LCR, comme ses grandes soeurs. Les murs de sa chambre sont mouchetés d'autocollants : «Pas de FN dans nos quartiers», «L'Europe, oui, mais pas celle des patrons», «Régularisation de tous les sans-papiers». Au-dessus de la porte, sur la tapisserie, deux petites gymnastes, corps tendus, cheveux tirés et combinaisons brillantes, s'effritent comme les souvenirs. Morgane a fait cinq ans de gym. «Ma mère a préféré que j'arrête, elle avait peur que je ne grandisse plus.» Elle a tenté le théâtre aussi. Mais le mercredi, désormais, de 18 heures à 20 h 30, elle a réunion des JCR. Le calendrier 2005 accroché au-dessus de son lit a la couleur rouge et porte les trois têtes pensantes d'une antique révolution. Lénine, Engels et Marx, regards au loin, semblent l'escorter vers la maturité. Dans sa chambre, ils sont moins poussiéreux que les ours en peluche avachis sur le lit, que les poupées aux yeux encore bleus mais aux cheveux crépus, ou que le bateau pirate qui dépasse du haut de l'armoire.
Elle effleure l'enfance : «Tranquille, sans histoires. J'étais une petite fille sage et timide, mais tout le monde est timide.» Elle n'est ni baptisée ni communiante, mais fréquentait deux fois par mois, sur une idée de ses parents «semi-pratiquants» qui se sont connus à la Jeunesse ouvrière chrétienne, l'Action catholique des enfants, un catéchisme de gauche qui fait réfléchir sur le monde à partir de l'Evangile. Viennent les années collège. Les plus dures, les plus stigmatisantes, qui voient les bien-nés migrer préventivement vers le privé, et les plus pauvres déjà convaincus de leur échec. «J'ai pas aimé. Il y avait des tensions avec ceux des cités, les moqueries aussi. C'était le pire moment, celui où il faut ressembler à la fille qui chante à la télé.» Et puis le lycée Pablo-Picasso, 1 000 élèves, entre RER et galerie commerciale Auchan. Elle est en première économique et sociale, élève moyenne qui passe le bac français avec, sur la liste de l'oral, un Barbier de Séville qui ne l'inspire guère et une Marguerite Duras qui a sa sympathie. «J'ai la tête ailleurs.»
Collée au mégaphone. Qui amplifie pour mieux l'oublier ce défaut qu'on appelle chuintement lorsqu'elle parle et qui dut faire ricaner dans l'enceinte impitoyable des cours d'école : «Un mauvais placement de la langue, je fais de l'orthophonie. Maintenant, je me dis qu'il faut dépasser ça.» Et parler, bloquer les routes, empêcher les cours, dénoncer la professionnalisation précoce de l'enseignement, la présence d'un correspondant du commissariat dans l'établissement : «Le but, c'est la division des lycéens, la dénonciation des fumeurs de cannabis.» Le slogan fait du bien à cet âge emprunteur de mots. Elle se fait plus rougissante pour avouer quelques fumettes, «de temps à autre à des fêtes». Fêtes plutôt dansantes avec les amis d'avant, et plutôt causantes avec ceux des JCR. Elle a des yeux très clairs, de longs cheveux brillants, un maquillage discret, de grands anneaux à perles aux oreilles. Elle aime les fringues qu'elles s'échangent entre soeurs. Son portable, acquis à 16 ans, délivre régulièrement des textos. La militante n'est pas austère. «Je suis plutôt No logo, mais je suis aussi lycéenne.»
Elle est pleine d'empreintes familiales. Il y a devant elle deux soeurs complices, déjà bachelières, proches par l'âge, dont elle a encore voulu se rapprocher, elles qui ont rejoint l'extrême gauche au lendemain de Le Pen-Chirac. «Un déclic, dit la mère. On avait l'impression que rien ne les ferait bouger. Pour Morgane, la JCR, c'est grandir.» Il y a derrière elle deux frères. Le plus jeune, Senework, est adopté. Il vient d'Ethiopie, des terres pauvres et lointaines que la famille regarde et commente à la télévision. Il y a avant elle le poids de gens modestes formés par le militantisme. Sa mère est institutrice, mais jusqu'à 30 ans, date de son diplôme, elle faisait le ménage dans les écoles ou gagnait sa vie chez Monoprix. Le père, lui aussi passé par les concours de l'âge adulte, est infirmier en psychiatrie. Revenu mensuel du foyer, 4 100 euros. «Hier, je leur ai dit : "Le loyer de Gaymard, c'est sept mois de mon salaire. Et on n'est pas dans la misère..."», sourit la mère. Le père fut communiste, puis socialiste. La mère, alternative rouge et verte, puis uniquement verte. Il n'y a pas de grand-père dans la mémoire de Morgane. Juste deux grands-mères. Des histoires de familles nombreuses et d'allocations familiales, mélange de racines bretonnes et de HLM du XIIIe arrondissement parisien. Il y a sous ses pieds, les fondements d'une maison achetée par ses parents il y a quartorze ans à une famille italienne de neuf enfants, qui l'avait construite de ses mains.
Pendant les vacances scolaires, elle n'est pas partie. Morgane a été de toutes les réunions qui tenaient la contestation au chaud : elle sait que la pression sera grande pour que les cours reprennent rapidement. Sinon, quelques virées à Paris sur les bords de Seine, du côté de Châtelet. Quelques après-midi à la maison avec les frangins, les frangines, les odeurs de gâteau, et les grondements de la machine à laver en plein essorage. Pas de télé pour passer le temps, malgré celle dans sa chambre. Elle croit que l'Amérique est le berceau du mal et se prive de sa musique. Elle écoute Renaud, Noir Désir, Zebda, Tryo, plutôt chanteurs à texte pour trentenaires. Elle évoque Mai 68, tente d'en parler, timidement, puis se ravise : «J'ai pas suivi la formation sur Mai 68. J'étais à celle sur Religion et oppression des femmes.» Forcément, trotskiste à 17 ans, ça oblige à quelques flash-backs.
Elle pense faire une fac d'histoire. L'horizon bouché des diplômés ne la préoccupe pas encore. Que la révolution fasse rire et fuir les vieux qui la réclamaient à son âge, pas davantage. Elle votera pour la première fois à la présidentielle de 2007. Elle voit bien Sarkozy dans le rôle de l'homme à battre. Sinon, elle se garde d'écrire sa vie à l'avance. Elle n'a pas d'idée de métier. Elle sait que le premier amour n'est que le premier. Et qu'elle ressortira aujourd'hui, le mégaphone dans la cour du lycée.
Portrait
Morgane Moalic, 17 ans, lycéenne. Membre des Jeunesses communistes révolutionnaires, issue d'une famille militante, elle sera en première ligne mardi dans la manif contre la loi Fillon.
Lutte de salle de classe
Par Judith PERRIGNON LeMonde
mars 2005
A la dernière manif lycéenne, elle était debout sur un camion. Elle criait «De l'argent, y en a dans les poches du patronat» ou «Chirac-Fillon démission». Des grands mots qui lui ont cassé la voix et qui lui valaient les regards agacés des meneurs sages, «ils montaient la musique. C'était à qui arrivera à parler plus fort que l'autre», mais qui la mettent en joie, parce qu'elles sont rares les certitudes à 17 ans.
Le mégaphone, c'est elle qui l'a apporté aux premiers jours de la contestation au lycée Pablo-Picasso de Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne). Morgane est équipée. Elle fait de la politique. Elle est membre des Jeunesses communistes révolutionnaires, branche de la LCR, comme ses grandes soeurs. Les murs de sa chambre sont mouchetés d'autocollants : «Pas de FN dans nos quartiers», «L'Europe, oui, mais pas celle des patrons», «Régularisation de tous les sans-papiers». Au-dessus de la porte, sur la tapisserie, deux petites gymnastes, corps tendus, cheveux tirés et combinaisons brillantes, s'effritent comme les souvenirs. Morgane a fait cinq ans de gym. «Ma mère a préféré que j'arrête, elle avait peur que je ne grandisse plus.» Elle a tenté le théâtre aussi. Mais le mercredi, désormais, de 18 heures à 20 h 30, elle a réunion des JCR. Le calendrier 2005 accroché au-dessus de son lit a la couleur rouge et porte les trois têtes pensantes d'une antique révolution. Lénine, Engels et Marx, regards au loin, semblent l'escorter vers la maturité. Dans sa chambre, ils sont moins poussiéreux que les ours en peluche avachis sur le lit, que les poupées aux yeux encore bleus mais aux cheveux crépus, ou que le bateau pirate qui dépasse du haut de l'armoire.
Elle effleure l'enfance : «Tranquille, sans histoires. J'étais une petite fille sage et timide, mais tout le monde est timide.» Elle n'est ni baptisée ni communiante, mais fréquentait deux fois par mois, sur une idée de ses parents «semi-pratiquants» qui se sont connus à la Jeunesse ouvrière chrétienne, l'Action catholique des enfants, un catéchisme de gauche qui fait réfléchir sur le monde à partir de l'Evangile. Viennent les années collège. Les plus dures, les plus stigmatisantes, qui voient les bien-nés migrer préventivement vers le privé, et les plus pauvres déjà convaincus de leur échec. «J'ai pas aimé. Il y avait des tensions avec ceux des cités, les moqueries aussi. C'était le pire moment, celui où il faut ressembler à la fille qui chante à la télé.» Et puis le lycée Pablo-Picasso, 1 000 élèves, entre RER et galerie commerciale Auchan. Elle est en première économique et sociale, élève moyenne qui passe le bac français avec, sur la liste de l'oral, un Barbier de Séville qui ne l'inspire guère et une Marguerite Duras qui a sa sympathie. «J'ai la tête ailleurs.»
Collée au mégaphone. Qui amplifie pour mieux l'oublier ce défaut qu'on appelle chuintement lorsqu'elle parle et qui dut faire ricaner dans l'enceinte impitoyable des cours d'école : «Un mauvais placement de la langue, je fais de l'orthophonie. Maintenant, je me dis qu'il faut dépasser ça.» Et parler, bloquer les routes, empêcher les cours, dénoncer la professionnalisation précoce de l'enseignement, la présence d'un correspondant du commissariat dans l'établissement : «Le but, c'est la division des lycéens, la dénonciation des fumeurs de cannabis.» Le slogan fait du bien à cet âge emprunteur de mots. Elle se fait plus rougissante pour avouer quelques fumettes, «de temps à autre à des fêtes». Fêtes plutôt dansantes avec les amis d'avant, et plutôt causantes avec ceux des JCR. Elle a des yeux très clairs, de longs cheveux brillants, un maquillage discret, de grands anneaux à perles aux oreilles. Elle aime les fringues qu'elles s'échangent entre soeurs. Son portable, acquis à 16 ans, délivre régulièrement des textos. La militante n'est pas austère. «Je suis plutôt No logo, mais je suis aussi lycéenne.»
Elle est pleine d'empreintes familiales. Il y a devant elle deux soeurs complices, déjà bachelières, proches par l'âge, dont elle a encore voulu se rapprocher, elles qui ont rejoint l'extrême gauche au lendemain de Le Pen-Chirac. «Un déclic, dit la mère. On avait l'impression que rien ne les ferait bouger. Pour Morgane, la JCR, c'est grandir.» Il y a derrière elle deux frères. Le plus jeune, Senework, est adopté. Il vient d'Ethiopie, des terres pauvres et lointaines que la famille regarde et commente à la télévision. Il y a avant elle le poids de gens modestes formés par le militantisme. Sa mère est institutrice, mais jusqu'à 30 ans, date de son diplôme, elle faisait le ménage dans les écoles ou gagnait sa vie chez Monoprix. Le père, lui aussi passé par les concours de l'âge adulte, est infirmier en psychiatrie. Revenu mensuel du foyer, 4 100 euros. «Hier, je leur ai dit : "Le loyer de Gaymard, c'est sept mois de mon salaire. Et on n'est pas dans la misère..."», sourit la mère. Le père fut communiste, puis socialiste. La mère, alternative rouge et verte, puis uniquement verte. Il n'y a pas de grand-père dans la mémoire de Morgane. Juste deux grands-mères. Des histoires de familles nombreuses et d'allocations familiales, mélange de racines bretonnes et de HLM du XIIIe arrondissement parisien. Il y a sous ses pieds, les fondements d'une maison achetée par ses parents il y a quartorze ans à une famille italienne de neuf enfants, qui l'avait construite de ses mains.
Pendant les vacances scolaires, elle n'est pas partie. Morgane a été de toutes les réunions qui tenaient la contestation au chaud : elle sait que la pression sera grande pour que les cours reprennent rapidement. Sinon, quelques virées à Paris sur les bords de Seine, du côté de Châtelet. Quelques après-midi à la maison avec les frangins, les frangines, les odeurs de gâteau, et les grondements de la machine à laver en plein essorage. Pas de télé pour passer le temps, malgré celle dans sa chambre. Elle croit que l'Amérique est le berceau du mal et se prive de sa musique. Elle écoute Renaud, Noir Désir, Zebda, Tryo, plutôt chanteurs à texte pour trentenaires. Elle évoque Mai 68, tente d'en parler, timidement, puis se ravise : «J'ai pas suivi la formation sur Mai 68. J'étais à celle sur Religion et oppression des femmes.» Forcément, trotskiste à 17 ans, ça oblige à quelques flash-backs.
Elle pense faire une fac d'histoire. L'horizon bouché des diplômés ne la préoccupe pas encore. Que la révolution fasse rire et fuir les vieux qui la réclamaient à son âge, pas davantage. Elle votera pour la première fois à la présidentielle de 2007. Elle voit bien Sarkozy dans le rôle de l'homme à battre. Sinon, elle se garde d'écrire sa vie à l'avance. Elle n'a pas d'idée de métier. Elle sait que le premier amour n'est que le premier. Et qu'elle ressortira aujourd'hui, le mégaphone dans la cour du lycée.
Re: Morgane , la politique et le temps des cerises...
Solférino a écrit:ne pas aimer ok mais utiliser cet argument est stupide....
voila la façon dont l'article en parle :
Elle croit que l'Amérique est le berceau du mal et se prive de sa musique
ben j'ai fait quelque chose de trés con : je lui ai demandé ! elle m'a dit qu'elle n'avait pas dit ça comme ça, mais expliqué au journaleux que l'amérique c'était pas le réve, mais aussi la misére et le racisme (ce qui n'est pas faux) et qu'ellle n'était pas trop branché rock rap américain, pas parce qu'elle pense que c'est tous des gros réacs, mais qu'elle préfére quand elle comprend les paroles....
moi je la trouve pleine de bon sens....
marcoo- moulin à paroles
- Nombre de messages : 1241
Date d'inscription : 03/01/2005
Re: Morgane , la politique et le temps des cerises...
on se marrera encore plus quand dans 20 ans elle votera PS ou les Verts.. MDR
Llorse- Invité
Re: Morgane , la politique et le temps des cerises...
ne prend pas ton cas pour une généralité
Emma- Ragotier(e)
-
Nombre de messages : 49111
Age : 59
Date d'inscription : 12/09/2004
Re: Morgane , la politique et le temps des cerises...
ici c plutot de l'ordre de la probabilité..Emma a écrit:ne prend pas ton cas pour une généralité
Llorse- Invité
Re: Morgane , la politique et le temps des cerises...
marcoo a écrit:
ben j'ai fait quelque chose de trés con : je lui ai demandé ! elle m'a dit qu'elle n'avait pas dit ça comme ça, mais expliqué au journaleux que l'amérique c'était pas le réve, mais aussi la misére et le racisme (ce qui n'est pas faux) et qu'ellle n'était pas trop branché rock rap américain, pas parce qu'elle pense que c'est tous des gros réacs, mais qu'elle préfére quand elle comprend les paroles....
moi je la trouve pleine de bon sens....
Ben attends! T'es marrant, ce n'est pas du tout du tout la même chose!!!
Bon, c'est ki c'te journaleux à deux euros???...
Patience- moulin à paroles
- Nombre de messages : 1206
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 19/09/2004
Re: Morgane , la politique et le temps des cerises...
je fais un pari
c'est caroline!!!
[/img]
c'est caroline!!!
[/img]
Emma- Ragotier(e)
-
Nombre de messages : 49111
Age : 59
Date d'inscription : 12/09/2004
Re: Morgane , la politique et le temps des cerises...
(un jour un gros c. de journaliste m'a fait passer pour un communiste, ca laisse des marques...)
Il avait sans doute fumé un pétard !
Das_Yog tu sais ce qu'ils te disent les journaleux...
Re: Morgane , la politique et le temps des cerises...
c'est vrai que dans disney magazine, ils ne sont vraiment pas spécialiste en politique
Emma- Ragotier(e)
-
Nombre de messages : 49111
Age : 59
Date d'inscription : 12/09/2004
Re: Morgane , la politique et le temps des cerises...
c qui Caroline?Emma a écrit:je fais un pari
c'est caroline!!!
Llorse- Invité
Re: Morgane , la politique et le temps des cerises...
das_Yog a écrit:Citation:
A la décharge de cette pauvre fille (elle est déja aux JCR, on va pas non plus ajouter a ses malheurs!), prendre quand meme en compte que l'histoire du boycott de la musique américaine est peut etre une invention de la journaliste...
Certes mais en raisonnant ainsi,on peut tt remettre en doute,meme le fait qu'elle fasse partie des JCR lol
Et ben ouais, faut toujours remettre en doute les journalistes et spécialement quand ils résument la pensée de quelqu'un...
(un jour un gros c. de journaliste m'a fait passer pour un communiste, ca laisse des marques...)
T'as raison, c'est vraiment un gros c... ce journaliste! Traiter un gros réac comme toi de Communiste, non mais franchement...!
Pedro- Blablateur(euse)
-
Nombre de messages : 4132
Age : 57
Localisation : Petrograd
Date d'inscription : 13/09/2004
Re: Morgane , la politique et le temps des cerises...
C'ets vrai, quoi, c'est quand même dégueulasse pour les Communistes, de se faire traiter de das yog...
Tiens, il mériterait la
Tiens, il mériterait la
Pedro- Blablateur(euse)
-
Nombre de messages : 4132
Age : 57
Localisation : Petrograd
Date d'inscription : 13/09/2004
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