"Une copine dans tous les sens!"
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"Une copine dans tous les sens!"
Bonjour tout le monde, voici le texte Esther d’une sympathisante syndicale.
DANS TOUS LES SENS !
Il y a le bon sens, et le contre sens
Oû allons-nous ? Dans quel sens ?
La vie est faite de sens obliges
Quand au labeur…Un sens unique.
Ne prenons pas le sens giratoire,
C’est le refuge du sans espoir.
On mène la vie à double sens
Dans un monde en effervescence.
Tout n’est que vertige, tout est à l’envers,
Envers et contre tous moi j’écrirai mes vers.
Comme le ver de à soie qui rampe au tapis vert,
Mes larmes gèleront aux longues soirées d’hiver.
Et nous voilà tous sens dessus dessous
Deux sous de gentillesse ne valent pas un sou.
Sous la voûte des cieux pleure mon soupir,
Adieu Patron, je suis sans le sou d’un désir.
Resté encore est mon écho sans voix,
Nous avons tous les deux changé de voie
Voie sans issue, c’est le bout du chemin,
Je suis resté sans voix…plus rien.
Demain peut-être, oh oui demain !
Nous serons là Camarades, main dans la main.
Nous voici maintenant nous tenant la main.
Invisible espoir qui entaille mes chairs,
Toi, qui pourtant m’était devenu cher !
Cher ami, la vie est bien trop chère
Qui vivra d’un salaire obtenu aux enchères ?
Toi et moi l’interdit nous rassemble.
Je lutterai puisqu’on se ressemble.
Et surtout ne fait pas semblant
Faisons vibrer nos cœurs…..ensemble !
Esther...
DANS TOUS LES SENS !
Il y a le bon sens, et le contre sens
Oû allons-nous ? Dans quel sens ?
La vie est faite de sens obliges
Quand au labeur…Un sens unique.
Ne prenons pas le sens giratoire,
C’est le refuge du sans espoir.
On mène la vie à double sens
Dans un monde en effervescence.
Tout n’est que vertige, tout est à l’envers,
Envers et contre tous moi j’écrirai mes vers.
Comme le ver de à soie qui rampe au tapis vert,
Mes larmes gèleront aux longues soirées d’hiver.
Et nous voilà tous sens dessus dessous
Deux sous de gentillesse ne valent pas un sou.
Sous la voûte des cieux pleure mon soupir,
Adieu Patron, je suis sans le sou d’un désir.
Resté encore est mon écho sans voix,
Nous avons tous les deux changé de voie
Voie sans issue, c’est le bout du chemin,
Je suis resté sans voix…plus rien.
Demain peut-être, oh oui demain !
Nous serons là Camarades, main dans la main.
Nous voici maintenant nous tenant la main.
Invisible espoir qui entaille mes chairs,
Toi, qui pourtant m’était devenu cher !
Cher ami, la vie est bien trop chère
Qui vivra d’un salaire obtenu aux enchères ?
Toi et moi l’interdit nous rassemble.
Je lutterai puisqu’on se ressemble.
Et surtout ne fait pas semblant
Faisons vibrer nos cœurs…..ensemble !
Esther...
lariviere- moulin à paroles
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