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Il y a cent ans mourait Louise Michel.

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Il y a cent ans mourait Louise Michel. Empty Il y a cent ans mourait Louise Michel.

Message par Francois Dim 9 Jan - 1:16

Louise Michel est décédée, il y a cent ans, le 9 janvier 1905. Le gouvernement français a décidé de célébrer le centenaire de cette disparition en grande pompe. Dimanche, messieurs les ministres de la Justice (Louise Michel fit de la prison), de l'Intérieur (elle fut arrêtée maintes fois), de l'Education (elle fonda des écoles), de la Culture (elle écrivit des poèmes, des pièces), flanqués d'un secrétaire d'Etat aux Commémorations et d'un autre à la Coopération (elle fut exilée neuf ans en Nouvelle-Calédonie) se presseront autour du Premier ministre qui aura à coeur de célébrer cette «force vive» de la nation.

Concurrence. Louise Michel aura mis son corps, sa voix et sa plume au service des grandes causes ­ de l'école laïque à l'anarchie en passant par la Commune de Paris et la libération des femmes. Brisons là le simulacre : le gouvernement n'a pas prévu de célébrer ­ pas même en petite pompe ­ le centenaire de la disparition de Louise Michel. «On n'organise rien. On ne fait que recenser les manifestations prévues» (1), dit-on à la délégation aux célébrations nationales, cellule du ministère de la Culture. En 1853, Louise Michel devint institutrice mais refusa de prêter serment à l'Empire ; très tôt, elle ouvrit une école «libre» (c'est-à-dire indépendante du pouvoir), sorte de prototype de la future école laïque et républicaine, et même en avance : elle y prônait non seulement la mixité mais encore l'éducation sexuelle. Des dizaines d'établissements scolaires portent légitimement son nom. Le plus souvent dans des villes communistes qui mettent l'accent sur la communarde et passent vite sur l'anarchiste.

En Seine-Saint-Denis, sur les 800 écoles maternelles et élémentaires, 7 portent le nom de Louise Michel, et trois établissements du secondaire sur les 200 collèges et lycées de l'académie de Créteil. «Au Panthéon des personnalités du mouvement ouvrier, Louise Michel a pas mal de concurrents», explique-t-on. Jean Jaurès et Colonel Fabien tiennent le haut du pavé. Au collège Louise-Michel du XXe arrondissement de Paris, situé à quelques centaines de mètres de la rue du Château-d'Eau où elle enseigna, la direction n'a pas prévu de célébration particulière. La personnalité de Louise Michel intéresse-t-elle la principale ? «Oui, dans la mesure où l'établissement porte son nom.» Rien de plus.

Obédience. En province, l'intérêt n'est guère plus vif. Ainsi, au lycée Louise-Michel de Gisors (Eure), rien n'est prévu : «On n'y a pas pensé», reconnaît le proviseur qui vient de prendre ses fonctions. «Il n'y a pas, localement, de tradition d'hommage, poursuit-il, et le fait que le lycée porte son nom depuis 1988 est uniquement lié à l'obédience politique de la mairie sur laquelle je n'ai pas de commentaires à faire.» L'établissement est accolé à un lycée professionnel portant le nom de Louis-Aragon, situé à quelques mètres du gymnase Nelson Mandela. Aucune plaque n'indique dans le lycée qui était Louise Michel. «Le choix de son nom est quelque chose d'étrange, reprend le proviseur. La sensibilité des gens, ici, n'a pas grand-chose de commun avec son histoire.»

Même indifférence à l'école élémentaire et maternelle Louise-Michel de Givors (Rhône). La directrice est débordée, le quartier difficile, et les élèves n'ont jamais été sensibilisés à la personnalité de Louise Michel, bien que le groupe scolaire porte son nom depuis «plus de trente ans».

http://www.liberation.fr/page.php?Article=266746
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Il y a cent ans mourait Louise Michel. Empty Ce qu'en dit Besancenot.

Message par Francois Dim 9 Jan - 1:21

http://www.liberation.fr/page.php?Article=266427
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Message par Alex Dim 9 Jan - 1:25

Louise Michel est décédée, il y a cent ans, le 9 janvier 1905. Le gouvernement français a décidé de célébrer le centenaire de cette disparition en grande pompe. Dimanche, messieurs les ministres de la Justice (Louise Michel fit de la prison), de l'Intérieur (elle fut arrêtée maintes fois), de l'Education (elle fonda des écoles), de la Culture (elle écrivit des poèmes, des pièces), flanqués d'un secrétaire d'Etat aux Commémorations et d'un autre à la Coopération (elle fut exilée neuf ans en Nouvelle-Calédonie) se presseront autour du Premier ministre qui aura à coeur de célébrer cette «force vive» de la nation.

Ouf, un instant j'y ai cru, je me suis dit "non mais c'est pas vrai le foutage de gueule!!". Bon finalement c'est une blague... Ah mais il reste encore du boulot ma pauvre Louise!
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Il y a cent ans mourait Louise Michel. Empty Re: Il y a cent ans mourait Louise Michel.

Message par Pedro Dim 9 Jan - 15:11

J'ai fait un fil, aussi, à partir de l'éphéméride des amis de LO. C'est quand même autre chose que la bouillie de Libé (excuse moi François - et bonne année, par ailleurs).
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Message par marcoo Dim 9 Jan - 15:26

la bouillie de libé : tu parles de ça :

Louise Michel, rebelle éternelle

Cent ans après sa mort, lettre ouverte à la femme qui a incarné la Commune de Paris.

Par Olivier BESANCENOT

vendredi 07 janvier 2005



chère Louise, Cette lettre t'aurait probablement agacée, toi, la révolutionnaire qui ne supportait pas le culte de la personnalité. Mais vois-tu, ici en France, cent ans après ta mort, le pouvoir qui mérite toujours notre suspicion ne célèbre que l'anniversaire des vainqueurs. Napoléon fait encore la une, deux cents ans plus tard. La Commune de Paris, première révolution menée par et pour le peuple, ne fait pas parler d'elle, ou si peu. Pourtant, le printemps 1871 a fait entrevoir ce qui n'était qu'un projet : une autre société que le capitalisme s'avérait possible. Trois petits mois, c'est court. Mais quand une révolution brusque le temps, il peut s'immobiliser l'espace d'un instant - peut-être des siècles pour toi et tes camarades, sans doute une éternité pour les Versaillais. Une éternité ramassée en quelques lignes dans nos manuels d'histoire, une éternité amputée, rabougrie par le compresseur d'une pensée unique et dominante.

Aujourd'hui, les quelques rues qui portent ton nom jouxtent les boulevards baptisés Thiers ou Mac-Mahon. Oui, Louise, les bourreaux des communards sont toujours encensés alors qu'ils ont fait abattre plus de 30 000 Parisiens affamés mais fiers, éreintés par des mois de siège militaire mais libres. Aujourd'hui, dans ce XVIIIe arrondissement de Paris où tu as enseigné et défendu la Commune, j'observe les touristes qui photographient le Sacré-Coeur ; la plupart d'entre eux ignorent que ce monument a été bâti pour expier les esprits subversifs comme le tien. Aujourd'hui, les «Versaillais» habitent Neuilly. La rue Perronet, où sur une barricade tu avais pendant plusieurs jours donnés le coup de feu pour empêcher l'ennemi de reprendre aux Communards les clés de la ville, ne porte plus la moindre trace des bombardements qui pilonnaient vos abris, vos corps et vos rêves. Aujourd'hui, Louise, à Levallois où tu es enterrée, les exploiteurs ont chassé le populo loin de la ville, à grand renfort de promoteurs. Malgré tout, à Levallois comme ailleurs, ton ombre continue de planer et de porter l'inlassable espoir d'un monde plus juste, d'un vrai changement qui améliorerait le quotidien de millions de personnes. Mais ce changement ne pouvait pas non plus, à ton époque, s'épanouir dans une République cadenassée par la bourgeoisie, fraîchement propulsée par l'essor industriel. Cette République avait bénéficié d'un concours de circonstances : la chute de l'Empire, ridiculisé et vaincu à Sedan par les Prussiens. Ce changement que tu défendais, les nouvelles élites n'en voulaient pas. Alors, plutôt pactiser avec l'ennemi d'hier, mais allié social de toujours, soudé par les mêmes intérêts spéculatifs, les mêmes appétits financiers, que d'établir une union contre-nature avec le peuple de Paris. Plutôt Bismarck que Blanqui ! Voilà le mot d'ordre de Thiers et comparses. Seulement voilà, le peuple de Paris, en ces temps de guerre, possède des armes et des canons. Pas facile pour l'Assemblée repliée à Versailles de récupérer l'attirail. En réalité, ce 17 mars 1871, plus que vos canons, c'est la possibilité de prendre en main votre destin que les Versaillais ont voulu vous ôter. Or l'élan populaire l'emporta sur la réaction, l'insurrection sur l'humiliation et la fraternisation entre les soldats et la garde nationale sur la répression. Ce fut une révolution. Bien sûr, la Commune a eu des difficultés à surmonter et a connu son lot d'échecs. Mais elle peut se vanter d'avoir ouvert une brèche dans la forteresse des idées dominantes : la preuve que révolution et démocratie peuvent aller de pair. Malgré ses limites, l'expérience de la Commune fait encore écho à l'heure où la mondialisation libérale transforme tout en marchandise, y compris la démocratie. La répartition égalitaire des richesses nécessite toujours de prendre à l'infime minorité des puissants pour restituer à l'immense majorité des exploités. Elle réclame toujours de défier le pouvoir incontrôlé qu'exercent ces privilégiés sur l'économie comme sur l'ensemble de la société. La démocratie communaliste fonctionnait du bas vers le haut ; elle combinait suffrage universel et démocratie directe, en garantissant le multipartisme, la liberté de la presse ainsi que le contrôle et la révocabilité des élus.

Ton nom, Louise Michel, reste une offense pour les adversaires du changement, les conservateurs de droite ou de gauche libérale qui affirment que les révolutions mènent toutes à une tragédie sanglante : pourtant pas un seul d'entre eux n'ignore que le mur des Fédérés du cimetière du Père-Lachaise a été éclaboussé du sang des révolutionnaires communards et non de celui des réactionnaires versaillais. Et puis, cette révolution tu l'as conjuguée au féminin, même au féminisme ; la lutte pour l'émancipation des femmes a été un grand combat au sein du mouvement communaliste où les réflexes machistes étaient monnaie courante. Tu as fait partie de celles qui ont placé les femmes aux avant-postes des bouleversements en cours. Les premières manifestations de septembre 1870 ont été menées par des femmes ; des ambulancières à Montmartre, venues en aide aux blessées, ont pris leur fusil pour aller combattre. Des barricades de la place Blanche aux procès des pétroleuses, tu symbolises une génération de femmes que l'agitation sociale mena au premier plan. Voilà ce que tu représentais fièrement à la barbe d'une société capitaliste misogyne et haineuse des salariés : les dirigeants de ce monde-là ne pouvaient que te haïr.

Tu ne te voyais pas en martyre, ni en sainte laïque ou en vierge rouge. Certes tu aimais le goût de la poudre, mais tu n'avais pas la tendance suicidaire que certains spécialistes aiment à déceler chez quiconque - surtout s'il s'agit d'une femme - ose braver une armée de puissants. Tu étais curieuse de la vie que tu croquais à pleines dents et tu croyais en un avenir meilleur, toi la poète, l'apprentie scientifique, l'artiste, l'institutrice.

Pour toi, la révolution n'était pas une mode, elle rimait avec ténacité. Etre révolutionnaire, c'est l'être au-delà du cours de l'histoire, même quand il ne favorise pas la révolution. Près d'une décennie passée au bagne en Nouvelle-Calédonie n'aura pas eu raison de ton engagement. Bien au contraire, aux premiers pas de ton retour d'exil, plus combative encore, tu braves de plus belle la répression. Pourtant, les vestes politiques se retournaient volontiers à l'heure où tu brandissais toujours ton drapeau en dépit des années de prison et des procès. Ce drapeau appartient à celles et à ceux qui ne renoncent pas à changer le monde. Ce drapeau, loin du poncif du «grand soir» que les révolutionnaires seraient condamnés à attendre, entretient encore l'espoir.

C'est ma grand-mère, une institutrice de Levallois, qui m'a parlé de toi la première fois, me racontant comment tu avais défendu le peuple. Elle méconnaissait, je crois, les couleurs de ton drapeau. Depuis, je m'y suis intéressé de plus près. C'est ce drapeau, rouge et noir, que je veux célébrer dans cette lettre.

Olivier BESANCENOT, porte-parole
de la LCR.
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Message par Pedro Dim 9 Jan - 17:57

Je parlais de ce que j'ai lu plus haut. Je n'avais pas lu la lettre de Besancenot. Olivier avait il besoin de se confier à Libé, ce journal tombé dans la gibecière de grands groupes capitalistes, de gens comme Rotschild, ce journal dirigé, entre autres, par un ancien soixante huitard plutôt repenti et qui à un comportement de patron de choc avec ses employés? Olivier croit il que Libé est un journal proche du milieu révolutionnaire? Lutte Ouvrière, lors de certaines élections (pas les dernières, évidemment), parce qu'on lui prédisait de bons scores, et parce que cette organisation de militants ouvriers révolutionnaires dit régulièrement aux travailleurs de n'avoir aucune illusion sur la gauche (et surtout le ps), à vu des tombereaux de calomnies se déverser sur sa tête, quand ce n'étaient pas des quasi-insultes à caractère machiste et sexiste envers la pauvre Arlette. J'ai encore en mémoire un article totalement scandaleux du pédophile de service, ex Anar, nouveau vert ayant bien intégré l'économie de marché et la démagogie des politiciens écolos (je te laisse deviner de qui je parle, mais je suppose que tu trouveras facilement). Ce jours là, si j'avais eu cette enflure rouquine en face de moi, je lui en aurais volontiers collé une...
Olivier pouvait, bien que Rouge n'ai pas, tout comme le journal Lutte Ouvrière un grand retentissement dans la population laborieuse, hélas (il faut bien dire les choses), se contenter d'un hommage dans les colonnes du canard de son mouvement.
Libé ne critique pas trop la LCR, sauf pour lui reprocher un suivisme, vis à vis de LO (notamment aux dernières élections), mais, demain, si la LCR cessait véritablement de raccoler à gauche, cherchant uniquement à militer au sein de la classe ouvrière, cessant de voir dans chaque mouvement réformiste un caractère révolutionnaire, cessant de vouloir reconstruire la gauche, cessant de vouloir discuter avec des politiciens, ennemis de la classe ouvrière, et déguisés en socialistes, etc, bref, brisant tout lien avec des sociaux démocrates qui n'ont plus rien à voir avec leurs lointains ancêtres (qui, même réformistes, étaient sincères), alors, à n'en pas douter, cette organisation subirait les mêmes avanies que celles que subit souvent LO, de la part de Libé.
Pour en finir (enfin, pour le moment), sur le sujet, même si il suit la pente du parti dont il est le support papier, l'huma est encore un journal de la Classe Ouvrière, et j'aurais plus compris qu' Olivier fasse un article dans ce journal (à moins qu'il en aie fait un aussi?), plutôt que de faire un article dans un journal représentant une fraction de la bourgeoisie tout aussi pourrie de mépris vis à vis du prolo, que l'est la bourgeoisie dans sa grande majorité... Il faut dire les choses comme elles sont, Libé est très peu lu dans le milieu du monde du travail (sauf, sans doute, certaines catégories : profs, etc).
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Message par Francois Dim 9 Jan - 22:13

http://www.ac-creteil.fr/louise/louise/chrono/chrono.htm
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Message par Pedro Dim 9 Jan - 22:59

Intéressant.
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Message par Alex Lun 10 Jan - 0:55

Pedro tu peux très bien faire la même critique à Arlette qui va de temps à autre causer dans les médias "bourgeois" (ou alors Ardisson est un révolutionnaire, mais ça m'a échappé).
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Message par Francois Lun 10 Jan - 15:35

En tout cas, ce centenaire de son décès m' a donné envie d'en savoir plus sur cette femme, et tout ce que j'ai lu à son sujet ne m'a fait que me la rendre plus estimable.
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Message par Romane(Venise) Lun 10 Jan - 15:45

Lien vers qqs articles de presse informatifs : ... http://permanent.nouvelobs.com/culture/20050107.OBS5679.html
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Message par Francois Lun 10 Jan - 16:06

Romane(Venise) a écrit: Lien vers qqs articles de presse informatifs : ... http://permanent.nouvelobs.com/culture/20050107.OBS5679.html

Merci pour ce lien, où je viens de découvrit un calendrier de manifestations prévues.

Je suis bien tenté par ceci :

Samedi 15 Janvier : parcours de mémoire, sur les traces des Communardes à la Butte Montmartre ; rendez-vous à 14 h 30 devant la Mairie, place Jules Joffrin. Le parcours se terminera Square Louise Michel.

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Message par Romane(Venise) Lun 10 Jan - 16:12

Oui , si j'étais à Paris , j'irais sans hésiter.
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Message par Pedro Lun 10 Jan - 21:18

Alex a écrit:Pedro tu peux très bien faire la même critique à Arlette qui va de temps à autre causer dans les médias "bourgeois" (ou alors Ardisson est un révolutionnaire, mais ça m'a échappé).

C'est vrai, et il faut dire qu'en même temps, s' est eux qui tiennent le plus puissant porte-voix. Enfin, là, je m'en prenais surtout à Libé, journal particulièrement vomitif vis à vis de LO. Je trouve, mais peut être que je me trompe, que la LCR a tendance à souvent passer par ce journal.
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Message par marcoo Lun 10 Jan - 23:20

non, pas précisément : on passe aussi par le monde smibouncevert y'a meme bensaid qui a réussi a passer un article au figaro ! Mais on a aussi passé des trucs au parisien (ce qui est pas mal, mais particulierement difficile) La question qui se pose largement plus c'est la question du contenu (d'autant plus que dans un journal "c'est écrit" et y'a pas de montage possible, ni de coupure) Autant des fois, on peut reprocher a tort a olivier ou arlette de ne pas avoir défendu "comme il le fallait" nos arguments alors qu'ils ont été coupés au montage, autant le fait de pouvoir publier des tribunes nous fait échapper a tout ça ! maintenant, j'aimerais savoir si c'est une attitude délibérée de la part de lo, ou que vous n'y arrivez pas !
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