apres nantes sochaux
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apres nantes sochaux
Déplorable dénouement
Violence et blessés à Bonal
Quatre stadiers ont été blessés et transportés à l'hôpital, hier soir, après l'envahissement de la pelouse de Bonal par les supporters nantais.
Et la violence, encore et encore. Toujours. Qui revient et qui cette fois a frappé, hier soir au stade Bonal. Le match n'était pas encore terminé que déjà les sièges de la tribune réservée aux supporters nantais ont commencé à voler en direction du terrain et des stadiers. Quelques minutes plus tard, une centaine de supporters a franchi le cordon de stadiers, complètement dépassés pour envahir la pelouse et donner au champ de jeu, l'image d'un champ de bataille. Venus devant la tribune présidentielle réclamer la démission du président du FC Nantes, Jean-Luc Gripond, les fauteurs de trouble sont, ensuite, aller défier les supporters sochaliens. Des bagarres ont éclaté sur l'aire de jeu et c'est là que trois stadiers (dont une femme) ont été blessés et transportés à l'hôpital. Ce n'est qu'avec l'arrivée des CRS, vingt-cinq minutes après la fin du match, que les supporters nantais ont pu être stoppés dans leurs actes violents, et dispersés
“ Ils étaient déjà bien excités”
« Les stadiers ont fait ce qu'ils ont pu » a déclaré le président Plessis, quelques minutes plus tard. « J'avais croisé des supporters nantais plus tôt dans la journée et ils étaient déjà bien excités. On ne va tout de même pas mettre un stadier par supporter » Logique. Mais comment cette centaine de supporters (800 Nantais étaient venus par train spécial) a t-elle pu entrer aussi facilement sur la pelouse, sans être repoussée, contenue, voire stoppée ? Ces faits font peur et interpellent quand on connaît la réputation du FC Nantes et le comportement sans trace de ses supporters jusqu'ici. Il y a quinze jours à l'issue du match contre Strasbourg, les joueurs sochaliens avaient été victimes de l'agressivité de certains supporters doubistes. La porte des vestiaires avait été cassée et des voitures endommagées. Le procureur de la république de Montbéliard, François Pucheus, avait alors fait éditer, en accord avec le FCSM, une carte d'interdiction de stade pour les supporters surpris en flagrant délit de violation des règles de sécurité à Bonal. Cette carte entrait en vigueur… hier soir.
“ Le foot va mourir”
Force est de constater que la violence, qu'elle vienne d'ailleurs ou pas, s'est donc installée à Bonal comme dans beaucoup de stade désormais. « Le foot va mal. Il va mourir si on ne prend pas des décisions. » a encore commenté Jean-Claude Plessis. « J'ai été profondément marqué ces dernières semaines par les comportements des supporters sur les stades. C'est dramatique. C'est la gangrène du sport. » a t-il réitéré lui qui s'était déjà exprimé sur ce sujet lors de la finale de la Coupe de la Ligue à Paris. Mais ce qui s'est passé, hier soir, dépasse largement les portes des stades de football. Véritable vitrine de notre société, le football est devenu une fenêtre ouverte pour ces pseudos supporters, plus avides de violence que de beau football. Mais à Sochaux, comme ailleurs, les dirigeants vont devoir prendre le problème à bras le corps, une fois de plus pour redoubler de vigilance dans ce domaine. Et si aujourd'hui, on peut déjà s'interroger sur les sanctions qui vont être prises, sur leurs effets, etc. ce sont surtout l'état des stadiers blessés qui préoccupait, à l'heure où la fête aurait dû être belle, dans les salons de Bonal.
Violence et blessés à Bonal
Quatre stadiers ont été blessés et transportés à l'hôpital, hier soir, après l'envahissement de la pelouse de Bonal par les supporters nantais.
Et la violence, encore et encore. Toujours. Qui revient et qui cette fois a frappé, hier soir au stade Bonal. Le match n'était pas encore terminé que déjà les sièges de la tribune réservée aux supporters nantais ont commencé à voler en direction du terrain et des stadiers. Quelques minutes plus tard, une centaine de supporters a franchi le cordon de stadiers, complètement dépassés pour envahir la pelouse et donner au champ de jeu, l'image d'un champ de bataille. Venus devant la tribune présidentielle réclamer la démission du président du FC Nantes, Jean-Luc Gripond, les fauteurs de trouble sont, ensuite, aller défier les supporters sochaliens. Des bagarres ont éclaté sur l'aire de jeu et c'est là que trois stadiers (dont une femme) ont été blessés et transportés à l'hôpital. Ce n'est qu'avec l'arrivée des CRS, vingt-cinq minutes après la fin du match, que les supporters nantais ont pu être stoppés dans leurs actes violents, et dispersés
“ Ils étaient déjà bien excités”
« Les stadiers ont fait ce qu'ils ont pu » a déclaré le président Plessis, quelques minutes plus tard. « J'avais croisé des supporters nantais plus tôt dans la journée et ils étaient déjà bien excités. On ne va tout de même pas mettre un stadier par supporter » Logique. Mais comment cette centaine de supporters (800 Nantais étaient venus par train spécial) a t-elle pu entrer aussi facilement sur la pelouse, sans être repoussée, contenue, voire stoppée ? Ces faits font peur et interpellent quand on connaît la réputation du FC Nantes et le comportement sans trace de ses supporters jusqu'ici. Il y a quinze jours à l'issue du match contre Strasbourg, les joueurs sochaliens avaient été victimes de l'agressivité de certains supporters doubistes. La porte des vestiaires avait été cassée et des voitures endommagées. Le procureur de la république de Montbéliard, François Pucheus, avait alors fait éditer, en accord avec le FCSM, une carte d'interdiction de stade pour les supporters surpris en flagrant délit de violation des règles de sécurité à Bonal. Cette carte entrait en vigueur… hier soir.
“ Le foot va mourir”
Force est de constater que la violence, qu'elle vienne d'ailleurs ou pas, s'est donc installée à Bonal comme dans beaucoup de stade désormais. « Le foot va mal. Il va mourir si on ne prend pas des décisions. » a encore commenté Jean-Claude Plessis. « J'ai été profondément marqué ces dernières semaines par les comportements des supporters sur les stades. C'est dramatique. C'est la gangrène du sport. » a t-il réitéré lui qui s'était déjà exprimé sur ce sujet lors de la finale de la Coupe de la Ligue à Paris. Mais ce qui s'est passé, hier soir, dépasse largement les portes des stades de football. Véritable vitrine de notre société, le football est devenu une fenêtre ouverte pour ces pseudos supporters, plus avides de violence que de beau football. Mais à Sochaux, comme ailleurs, les dirigeants vont devoir prendre le problème à bras le corps, une fois de plus pour redoubler de vigilance dans ce domaine. Et si aujourd'hui, on peut déjà s'interroger sur les sanctions qui vont être prises, sur leurs effets, etc. ce sont surtout l'état des stadiers blessés qui préoccupait, à l'heure où la fête aurait dû être belle, dans les salons de Bonal.
Re: apres nantes sochaux
sochaux / nantes : 09/20
belle premiere mi-temps, bonne ambiance
seconde mi-temps ultra-decevante : aucun jeux aucune ambiance
fin de match et apres match pitoyable : bienvenue en L2 pour les nantais !
arbitrage fort mediocre : l'arbitre confond le rouge et le jaune les corners et les six mettres les fautes et les glissades ...
belle premiere mi-temps, bonne ambiance
seconde mi-temps ultra-decevante : aucun jeux aucune ambiance
fin de match et apres match pitoyable : bienvenue en L2 pour les nantais !
arbitrage fort mediocre : l'arbitre confond le rouge et le jaune les corners et les six mettres les fautes et les glissades ...
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