Cassons nos télés ! Idées pratiques !

Alors voila un fil pour que chacun donne ses idées pratiques pour se divertir histoire de remplacer la vie imposée par écran interposé par la vie la vraie celle ou c'est nous qui choisissons ce qu'y s'y passe

Comme je suis une grosse feignasse je fais des copier coller du web pour vous présenter un jeu qu'il est bien :

http://www.faidutti.com/index.php?Module=ludotheque&id=169

Certains jeux ne ressemblent à aucun autre, sont un genre à eux tous seuls. C'est le cas de Il était une fois.

D'ailleurs, il se présente et s'explique en quelques mots: chaque joueur a des cartes représentant les personnages, lieux, objets et événements qui font la matière des contes de fées: ogre, princesse, palais, forêt, miroir, chaudron, rencontre, sortilège… Le joueur qui a la main raconte l'histoire et pose les cartes correspondantes. Les autres peuvent "couper" s'il cite l'une de leurs cartes, ou avec des cartes spéciales. Bien sûr, celui qui coupe doit poursuivre l'histoire en cours, en en respectant la cohérence. Le gagnant est le premier à ne plus avoir de cartes, étant entendu que la dernière carte posée est la morale de l'histoire - Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants, Bien mal acquis ne profite jamais...

« Il était une fois » est un des plus curieux jeux de tous les temps.

Chaque joueur possède au départ des cartes représentant des éléments de contes de fée (une couronne , un monstre, une princesse,…) superbement illustrées par Sophie Mounier et une carte de conclusion (« ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants. »). L’habillage du jeu et le dos des cartes ont été dessiné par Florence Magnin et c’est bien.

Le premier joueur qui est narrateur va devoir improviser un conte en plaçant les éléments qu’il a en main, de façon cohérente, et en défaussant les cartes concernées au fur et à mesure. Le but étant de se débarrasser de toutes ses cartes en terminant par sa carte «dénouement».
Si le conteur hésite trop longtemps ou si son histoire manque de cohérence, il doit piocher une carte et son voisin reprend la narration où elle s’était arrêtée.

De plus, si le conteur nomme dans son récit un élément qu’un autre joueur possède en main, ce dernier l’interrompt et devient le nouveau conteur. Bien sûr, il doit quand même tenir compte du récit déjà existant.

Il existe aussi d’autres cartes qui permettent des interruptions sur des thèmes plus généraux. Ainsi si vous possédez une carte Interruption-Personnage, vous pourrez interrompre le conteur dès qu’il parlera d’un personnage quel qu’il soit.

Le jeu peut-être aussi bien joué par des enfants que des adultes. Les joueurs doivent être prévenus qu’il n’est pas aussi facile qu’on le croit de faire un récit cohérent devant un public même connu.

Mais le plus étonnant, reste que si «Il était une fois » est un vrai jeu, le plaisir qu’on y prend ne vient pas du fait de gagner la partie.
Il reste souvent un moment de poésie, d’une histoire souvent oiseuse et drôle que chacun va essayer d’influencer pour la mener à sa propre conclusion.

das_Yog a écrit:Alors voila un fil pour que chacun donne ses idées pratiques pour se divertir histoire de remplacer la vie imposée par écran interposé par la vie la vraie celle ou c'est nous qui choisissons ce qu'y s'y passe .

Il y a ecran et ecran. Ce W-E j'ai regardé un match de rugby et "Ripostes" sur la 5 soit 2H30.
Au moins 12H sur les ordis et pas pour jouer.

Petite balade de 8 Km environ. Dénivelé cumulé de 275 mètres.

Point de départ : La Jasserie

Accès : St-Etienne, le Bessat, la Croix de Chaubouret. Prendre la première route à gauche après la croix de Chaubouret pour la direction de la jasserie où la route se termine.

Carte à consulter : IGN 2933ET TOP25 au 1/25000
Pilat randonnées et découvertes au 1/50000.

Départ

1. Quitter La Jasserie par le G.R. 7 en direction du sud, traverser la route et un peu plus haut tourner à droite pour monter au sommet du Crêt de la Perdrix (table d'orientation 1432 m) et admirer le panorama. Suivre ensuite les balises jusqu'au Crêt de la Chèvre ; le sentier chemine en sous-bois puis grimpe au sommet où il émerge dans un environnement de rochers (point de vue). Prendre le sentier direction nord jusqu'au chalet bourguisan, puis descendre à droite dans la forêt. Dans la clairière, prendre à gauche et suivre le sentier balisé qui passe devant la « borne des trois seigneurs ». Descendre jusqu'au col.

2. Continuer par le sentier montant vers le sommet du Crêt de l'Étançon. Descendre de l'autre coté et poursuivre sur le chemin jusqu'au sommet du Crêt du Rachat (pylône), Continuer en direction du Crêt de Botte, mais au col prendre le chemin descendant à gauche. Dans le premier tournant, à droite, aller jusqu'aux ruines de la ferme de Bote.

3. Reprendre le sentier qui descend doucement à travers bois et chirats, franchit un ruisseau puis remonte sur l'autre versant. Nous trouverons une première stèle en bordure du sentier, indiquant le crash de l'avion en 1944. Le chemin émerge de la forêt avant de rejoindre la route de La Jasserie au niveau de la deuxième stèle du crash du 1er novembre 1944.

LES POINTS REMARQUABLES

La Jasserie : cette vieille ferme isolée, dite aussi « Grange du Pilat », remonte probablement au XVII le siècle. Son nom pourrait venir du celtique « jas » signifiant foyer, ou du patois forézien « jasse » désignant le récipient traditionnel destiné à recueillir le lait après la traite. Sa cloche sonnait pour guider les voyageurs égarés dans le brouillard. Elle est transformée aujourd'hui en auberge.

Crêt de la Perdrix: 1432 m, c'est le point culminant du massif du Pilat. Selon la légende, une perdrix y fut proclamée reine du Pilat par tous les animaux de la forêt.

Crêt de la Chèvre, Crêt de l'Étançon : le nom Crêt de la Chèvre désigne un endroit escarpé, fréquenté seulement par les chèvres. Mais la chèvre est aussi une gardienne de trésor et diverses légendes ou traditions circulent à son sujet. Il se confond avec le Crêt de l'Arnica.

Son voisin est le Crêt de l'Étançon, également nommé jadis Petites Croix. Ce dernier nom garde le souvenir des pèlerins de Saint­Sabin : ils plantaient dans les environs les petites croix de bois hâtivement fabriquées dès qu'ils apercevaient la chapelle Saint-Sabin.

Borne des Trois Seigneurs : ce petit cylindre de pierre, marqué d'une gravure en forme de chevron, constituait dit-on la limite des trois seigneuries de Malleval, Argental et Rochetaillée.

Ferme de Botte : ces ruines oubliées sont celles d'une ferme très ancienne. Selon le récit, d' un juriste lyonnais qui visita le Pilat en 1550, ici vivait une sorte de géant poilu en permanence chaussé de bottes, d'où le nom du lieu. En réalité Bote ne s'écrit qu'avec un seul T.

Crash du 1er novembre 1944. Un avion américain ayant à son bord cinq hommes d'équipage, une quinzaine de soldats blessés (dont quelques allemands) et une infirmière percuta dans le brouillard le massif du Pilat en contrebas du Crêt de Botte. Il n'y eut aucun survivant. Il y a deux stèles, une dans le chirat sous le Crêt de Botte, près du point d'impact, et une autre stèle inaugurée le 7 septembre 2002, près de la Jasserie, commémorent cet événement.

Pour en savoir plus :

Patrick Berlier, Le guide du Pilat et du Jarez, brochures n° 2 et 9, édition Actes Graphiques.

Guide Chamina le massif du Pilat

Guide Gallimard du Parc Naturel Régional du Pilat

Le jeu a l'air sympa, mais quelque chose me dit que ça doit durer une plombe avant d'arriver au dénouement.

Tu parles du jeu de Sorlac ?

Non celui de Das_yog. Cela dit le "jeu" de Sorlac doit durer un petit bout de temps aussi, mais ça doit aussi être très intéressant (quoique un petit peu plus fatigant).

Généralement ca dure une bonne demi heure en moyenne...

En plus il y a meme des cartes en plus qui sont laissée blanche pour rajouter vos propres conclusions (Pourquoi pas Et ils vécurent heureux apres avoir déclencher la révolution prolétarienne ? )

Allez sinon une idée de sortie interessante et pas cher :

Slam ou Spoken word

D'abord il faut faire la différence entre le Slam et le Spoken Word : Le slam (du verbe "to slam", claquer en anglais) est une compétition entre plusieurs poètes qui viennent se mesurer devant un jury composé de personnes choisies au hasard dans le public, qui élit le ou les meilleurs poètes de la soirée. Le "slam" est donc un évènement précis, alors que le "spoken word" est la pratique poétique en elle-même, cette façon de "claquer" les mots, cette forme particulière du texte : ni chanté, ni récité, ni joué, il est un peu tout ça : il est "vécu" par son interprète.

Si les thèmes abordés sont souvent sociaux, mystiques ou intimes, le fond reste libre, la forme elle se situe à la frontière du Rap, du théâtre, de la poésie, de la performance, du prêche ... les interprètes illustrent la force de l'écrit, sans support rythmique autre que la voix. Mais cela n'empêche pas certains artistes de dire leurs poèmes sur fond musical. Ces poètes viennent ainsi réciter , lire, voire chanter leurs textes, avec toujours un maximum de conviction.
Où voir et entendre du spoken word ?

Le spoken word est un courant de poésie orale qui commence à se répandre en France. Plusieurs fois par semaine, des sessions poétiques sont organisées dans différents bars et salles de spectacle des grandes et petites métropoles. Si le mouvement s'est introduit en France par le biais de scènes ouvertes dans les bars spécialisés, il investit aujourd'hui des lieux de proximités plus vastes (MJC, maisons de quartiers). La maxime "une poésie récitée, un verre offert" est désormais reprise dans de nombreux lieux, mais pas lors des soirées de Demodokos, où l'on propose à manger ....

Démocratiser la poésie par le spoken word, c'est donner la parole à qui la veut, le temps d'un texte, quelque soit son style. Discipline vivante et intense, à mi-chemin entre harangue et expression corporelle, le spoken word célèbre l'art oratoire.

piqué sur le site de demodokos http://www.demodokos.fr.st/ qui anime des sessions spoken word qu'elles sont tres bien au Zem theatre... a vous de trouver le rendez vous le plus pret de chez vous...