A quelques jours de la journée de la femme....

L'intervention de Dominique de Villepin, en déplacement à Strasbourg lundi 21 février, permettra-t-elle de trouver "une solution à -la- situation douloureuse" d'Aissata Bint-Karamoko, selon les propres termes du ministre de l'intérieur ? Pour l'heure, cette jeune Mauritanienne de 28 ans, enceinte de sept mois, mère d'un premier enfant de 3 ans et atteinte d'une grave maladie, a obtenu un sursis, alors que, lundi matin encore, elle était menacée d'une expulsion imminente.

Le préfet de la Moselle a en effet décidé de suspendre, jusqu'à la fin de la période périnatale, soit un mois après son accouchement, l'arrêté de reconduite à la frontière qu'il avait pris lundi 14 février à l'encontre de la jeune femme.

Arrivée en France en décembre 2001, Mme Bint-Karamoko s'est vu définitivement refuser, en novembre 2004, le statut de réfugiée par l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) et la Commission de recours des réfugiés (CRR). "Mme Bint-Karamoko, mariée de force, était, en Mauritanie, victime d'esclavage, a expliqué son avocate, Me Annabelle Macé. Elle a subi de nombreux viols et sévices physiques de la part de son mari. Mais l'Ofpra a refusé de voir dans les sévices subis autre chose que des démêlés conjugaux."

"NDLR : Reconnaissons quand meme qu'avec les deportations massives qui ont suivi les incidents mauritano-senegalais d'avril 89, certains gros malins immigrés de pays d'Afrique n'ont pas hésité a en faire un fond de commerce en se faisant passer pour des négro-africains persécutés dans leur pays dans l'unique but d'obtenir des papiers de sejour du pays d'accueil. Le drame est que des compatriotes véreux en mal de fortune n'hesitent pas a leur preter main forte par de faux temoignages et a induire en erreur des organisations des droits de l'homme peu regardantes des cas qui leurs sont soumis. Ce n'est pas la premiere fois que cela arrive mais c'est vraiment dommage qu'il y ait encore des gens qui tiennent par tous les moyens a discrediter le pays rien que pour assouvir des desseins inavoués."

das_Yog a écrit:Ca m'arrive de lire les journaux africains quand j'en ai l'occasion et je suis tombé sur un article de l'eveil hebdo du 22/02 (journal de Mauritanie) qui publiait un démenti que Aissata Karamako soit mauritanienne venant du consulat de Mauritanie en France et precisant que le document qu'elle avait produit dans son dossier initial de demande d'asile etait un faux document.

Je recopie la note de la redaction qui fait suite a cet article :

"NDLR : Reconnaissons quand meme qu'avec les deportations massives qui ont suivi les incidents mauritano-senegalais d'avril 89, certains gros malins immigrés de pays d'Afrique n'ont pas hésité a en faire un fond de commerce en se faisant passer pour des négro-africains persécutés dans leur pays dans l'unique but d'obtenir des papiers de sejour du pays d'accueil. Le drame est que des compatriotes véreux en mal de fortune n'hesitent pas a leur preter main forte par de faux temoignages et a induire en erreur des organisations des droits de l'homme peu regardantes des cas qui leurs sont soumis. Ce n'est pas la premiere fois que cela arrive mais c'est vraiment dommage qu'il y ait encore des gens qui tiennent par tous les moyens a discrediter le pays rien que pour assouvir des desseins inavoués."

Je sais pas trop comment le prendre...

C'est sûrement un journal "la voix de son maître".

das_Yog a écrit:Ca m'arrive de lire les journaux africains quand j'en ai l'occasion et je suis tombé sur un article de l'eveil hebdo du 22/02 (journal de Mauritanie) qui publiait un démenti que Aissata Karamako soit mauritanienne venant du consulat de Mauritanie en France et precisant que le document qu'elle avait produit dans son dossier initial de demande d'asile etait un faux document.

Je recopie la note de la redaction qui fait suite a cet article :

"NDLR : Reconnaissons quand meme qu'avec les deportations massives qui ont suivi les incidents mauritano-senegalais d'avril 89, certains gros malins immigrés de pays d'Afrique n'ont pas hésité a en faire un fond de commerce en se faisant passer pour des négro-africains persécutés dans leur pays dans l'unique but d'obtenir des papiers de sejour du pays d'accueil. Le drame est que des compatriotes véreux en mal de fortune n'hesitent pas a leur preter main forte par de faux temoignages et a induire en erreur des organisations des droits de l'homme peu regardantes des cas qui leurs sont soumis. Ce n'est pas la premiere fois que cela arrive mais c'est vraiment dommage qu'il y ait encore des gens qui tiennent par tous les moyens a discrediter le pays rien que pour assouvir des desseins inavoués."

Je sais pas trop comment le prendre...