le pen attaque sarkozy sur ses origines immigrées...

Le Pen: Sarkozy est un candidat qui "vient de l'immigration"
PARIS (AFP), 18:56
© AFP
Le candidat du Front national Jean-Marie Le Pen, le 6 avril 2007 à Saint-Cloud
Le candidat du Front national Jean-Marie Le Pen, le 6 avril 2007 à Saint-Cloud

Jean-Marie Le Pen, candidat du fhaine à la présidentielle, a jugé dimanche qu'il y avait "une différence" entre lui et Nicolas Sarkozy, affirmant que lui-même était "le candidat du terroir" alors que le candidat de l'UMP "vient de l'immigration".

"C'est un candidat qui vient de l'immigration, moi je suis un candidat du terroir. C'est vrai qu'il y a une différence, un choix qui peut être considéré comme fondamental par un certain nombre de Français", a-t-il déclaré lors du Grand Rendez-vous Europe 1/TV5 Monde et Le Parisien-Aujourd'hui en France.

Le candidat fhaine faisait allusion aux origines hongroises, par son père, de M. Sarkozy. "Lui-même s'en est servi comme argument" pendant la campagne, a-t-il dit.

Par ailleurs, Jean-Marie Le Pen a ironisé sur les "déclarations absurdes" de Nicolas Sarkozy "sur les gènes" et l'accueil des femmes battues. Le président du Front national a estimé que l'avance de M. Sarkozy dans les sondages l'avaient amené à dire "beaucoup de choses, quelquefois un peu absurdes, comme celle sur les gènes".

Le candidat UMP "a repris les vieilles thèses du XIXe siècle sur le criminel-né", a commenté le leader frontiste à propos des déclarations de M. Sarkozy sur le caractère inné de la pédophilie ou de la propension au suicide.

Par ailleurs, quand M. Sarkozy "promet à toutes les femmes battues du monde de leur donner la nationalité française, on est là dans le domaine ubuesque", a poursuivi M. Le Pen.

M. Le Pen a d'autre part réaffirmé qu'il était persuadé d'être présent au second tour de la présidentielle, comme en 2002, ajoutant qu'il croyait "raisonnablement" être "au-dessus de 20%", soit nettement plus que ce que les sondages le créditent.

Pedro a écrit:

Le Pen: Sarkozy est un candidat qui "vient de l'immigration"
PARIS (AFP), 18:56
© AFP
Le candidat du Front national Jean-Marie Le Pen, le 6 avril 2007 à Saint-Cloud
Le candidat du Front national Jean-Marie Le Pen, le 6 avril 2007 à Saint-Cloud

Jean-Marie Le Pen, candidat du fhaine à la présidentielle, a jugé dimanche qu'il y avait "une différence" entre lui et Nicolas Sarkozy, affirmant que lui-même était "le candidat du terroir" alors que le candidat de l'UMP "vient de l'immigration".

"C'est un candidat qui vient de l'immigration, moi je suis un candidat du terroir. C'est vrai qu'il y a une différence, un choix qui peut être considéré comme fondamental par un certain nombre de Français", a-t-il déclaré lors du Grand Rendez-vous Europe 1/TV5 Monde et Le Parisien-Aujourd'hui en France.

Le candidat fhaine faisait allusion aux origines hongroises, par son père, de M. Sarkozy. "Lui-même s'en est servi comme argument" pendant la campagne, a-t-il dit.

Par ailleurs, Jean-Marie Le Pen a ironisé sur les "déclarations absurdes" de Nicolas Sarkozy "sur les gènes" et l'accueil des femmes battues. Le président du Front national a estimé que l'avance de M. Sarkozy dans les sondages l'avaient amené à dire "beaucoup de choses, quelquefois un peu absurdes, comme celle sur les gènes".

Le candidat UMP "a repris les vieilles thèses du XIXe siècle sur le criminel-né", a commenté le leader frontiste à propos des déclarations de M. Sarkozy sur le caractère inné de la pédophilie ou de la propension au suicide.

Par ailleurs, quand M. Sarkozy "promet à toutes les femmes battues du monde de leur donner la nationalité française, on est là dans le domaine ubuesque", a poursuivi M. Le Pen.

M. Le Pen a d'autre part réaffirmé qu'il était persuadé d'être présent au second tour de la présidentielle, comme en 2002, ajoutant qu'il croyait "raisonnablement" être "au-dessus de 20%", soit nettement plus que ce que les sondages le créditent.

Comme si l'aristocrate, grand propriétaire terrien "pal sarkozy" (qui, à l'époque, avait fui à l'arrivée de l'armée rouge, allez savoir pourquoi...), c'était la même chose que le pauvre immigré Africain ou Asiatique qui fuit la guerre, la misère, la dictature, etc.