le nain de jardin se présente

Emma a écrit:euh sur marianne en ligne c'était chevenement (c'est parce que la censure n'aimait pas son autre surnom)

corto maltese 89 a écrit:En tout cas,le nain de jardin s'est invité sur france 2 ce soir.Attention a la sarkosyte!

Sarkozy s'adresse à "la France qui souffre"

RETHEL, Ardennes (AP) - Nicolas Sarkozy, candidat à l'élection présidentielle, s'est rendu lundi dans le département des Ardennes au chevet de "la France qui souffre" et qui "ne brûle pas de voitures".

"C'est très important d'aller dans des endroits où l'on souffre pour dire qu'il y a un espoir et qu'on ne doit laisser tomber personne", a déclaré le ministre de l'Intérieur au début de ce déplacement d'une journée dans les Ardennes, département touché de plein fouet par les restructurations industrielles.

"C'est très important de rencontrer des gens qui ne se plaignent pas et qui se battent. Ici, ce n'est pas la France qui brûle des voitures et ce n'est pas parce qu'ils ne brûlent pas de voitures qu'il ne faut pas s'occuper d'eux", a ajouté M. Sarkozy qui était interrogé lors de sa visite du lycée agricole de Rethel.

Le président de l'UMP a notamment évoqué les travailleurs pauvres "qui ne comprennent pas qu'on puisse travailler et être pauvre" et "veulent vivre de leur travail". "Ici on sait ce que c'est que la guerre, les souffrances, les restructurations, les délocalisations. Ici il ne vient à l'esprit de personne d'aller foutre le feu à une école ou à une voiture, ici on respecte ce qu'on a gagné, on connaît le prix du travail", a insisté le candidat. "Cette France silencieuse qui en a beaucoup bavé, je voulais être là, rencontrer ces gens-là".

Nicolas Sarkozy a rappelé les "chiffres terrifiants" des derniers scrutins dans le département des Ardennes, où "plus de 40%" des électeurs avaient voté pour les extrêmes à la présidentielle de 2002 et 62% avaient voté non au référendum de 2005 sur la Constitution européenne.

"Ce sont des cris de colère et la colère doit être entendue", a-t-il lancé.

"Si on arrive à donner un espoir aux Ardennes, c'est un espoir formidable donné à toute la France, on ne va pas baisser les bras", a souligné M. Sarkozy.

Après sa visite d'un lycée agricole, M. Sarkozy devait rencontrer les acteurs économiques et sociaux du département à la préfecture de Charleville-Mézières et visiter une usine à Bogny-sur-Meuse. Il devait terminer sa journée par un meeting à Charleville sur ce thème de la "France qui souffre". AP

egp/se/cr

au peuple de France

Je ne pense pas que la situation (socialement)

Le socialiste Bernard Kouchner prêt à participer au gouvernement en cas de victoire de Nicolas Sarkozy


PARIS (AP) - L'ancien ministre socialiste Bernard Kouchner, très critique à l'égard du Parti socialiste, se dit prêt à entrer dans "un gouvernement d'union nationale" en cas de victoire de Nicolas Sarkozy à la présidentielle.

"S'il y a un gouvernement d'union nationale, dépassant les clivages habituels, s'il y a une vraie 'équipe de France', oui", répond l'ancien ministre, interrogé, dans un entretien publié vendredi par "Le Parisien/Aujourd'hui en France", sur son éventuelle participation à un gouvernement présidé par Nicolas Sarkozy après la présidentielle.

"Il faut passer un cap difficile de cinq à dix ans, pour que notre pays retrouve son rang", explique-t-il.

Bernard Kouchner, qui a un temps affirmé qu'il serait candidat à la présidentielle, est particulièrement critique à l'égard de la campagne menée par les socialistes. Selon lui, il y a "de bonnes idées et beaucoup d'archaïsmes" dans le projet socialiste et il faudrait "ne plus mentir à ceux qui souffrent".

"Cela étant, je suis inscrit au PS, fidèle à ce parti", ajoute-t-il. AP

Emma a écrit:

Le socialiste Bernard Kouchner prêt à participer au gouvernement en cas de victoire de Nicolas Sarkozy


PARIS (AP) - L'ancien ministre socialiste Bernard Kouchner, très critique à l'égard du Parti socialiste, se dit prêt à entrer dans "un gouvernement d'union nationale" en cas de victoire de Nicolas Sarkozy à la présidentielle.

"S'il y a un gouvernement d'union nationale, dépassant les clivages habituels, s'il y a une vraie 'équipe de France', oui", répond l'ancien ministre, interrogé, dans un entretien publié vendredi par "Le Parisien/Aujourd'hui en France", sur son éventuelle participation à un gouvernement présidé par Nicolas Sarkozy après la présidentielle.

"Il faut passer un cap difficile de cinq à dix ans, pour que notre pays retrouve son rang", explique-t-il.

Bernard Kouchner, qui a un temps affirmé qu'il serait candidat à la présidentielle, est particulièrement critique à l'égard de la campagne menée par les socialistes. Selon lui, il y a "de bonnes idées et beaucoup d'archaïsmes" dans le projet socialiste et il faudrait "ne plus mentir à ceux qui souffrent".

"Cela étant, je suis inscrit au PS, fidèle à ce parti", ajoute-t-il. AP

cela ne m'étonne pas plus que cela

il faudrait "ne plus mentir à ceux qui souffrent".

"Il faut passer un cap difficile de cinq à dix ans, pour que notre pays retrouve son rang", explique-t-il.