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La démocratie chrétienne

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Message par Taranis Mer 9 Mar - 20:57

http://www.geocities.com/bureaupolitiquefsd/histoiredc.html

HISTOIRE DU MOUVEMENT DEMOCRATE - CHRETIEN DANS LE MONDE


Le rayonnement de la Révolution française au sein des milieux libéraux et républicains d'Europe donna naissance à une tradition anticléricale, incarnée surtout par les mouvements socialistes. C'est pour faire contre-poids à l'athéisme ouvrier et républicain que se forma au XIXe siècle une famille politique de réformistes catholiques: la démocratie chrétienne.



L'absence de théorie matérialiste de la révolution devait conduire les théoriciens du catholicisme social (Buchez, Ozanam, Arnaud de l'Ariège, l'abbé Morel, Charles de Coux, Armand de Melun, l'abbé Ledreuille, Tommaseo et Montanelli) à puiser dans la morale chrétienne la légitimation de la «vertu», nécessaire à l'émancipation sociale. L'échec des utopistes en 1848, surtout de Cabet et de son «Église communiste», a amené le catholicisme social sur des positions conservatrices et paternalistes. En favorisant la formation de syndicats chrétiens, le clergé catholique pensait élever un rempart contre la déchristianisation du mouvement ouvrier.

Lacuria Jean-Louis : Frédéric Ozanam (1866)



Les premiers mouvements chrétiens sociaux
Des précurseurs comme l'évêque de Mayence, Ketteler, se mirent en devoir de constituer des mouvements chrétiens sociaux. En prenant position par l'encyclique Rerum novarum de Léon XIII (1891), le Vatican reconnaissait la misère ouvrière. Il dénonçait les tentations socialistes et préconisait une action sociale chrétienne pour la réconciliation des classes. Toutefois, le syndicalisme chrétien resta largement soumis aux patrons, et la vague anticléricale en France fixa définitivement les chrétiens sociaux dans le camp de la droite. En Allemagne, le Kulturkampf de Bismarck contre les catholiques ne fut pas favorable à un essor de la démocratie chrétienne. En revanche, en Italie, où elle sera étouffée par le fascisme, la démocratie chrétienne fut adoptée dès la fin du siècle dernier.





Le Vatican, après avoir condamné le modernisme sous Pie X, adopta une attitude ambiguë à l'égard du fascisme et du nazisme. Il faudra attendre 1945 pour voir surgir, en Europe, de grands partis démocrates-chrétiens, tandis qu'en Amérique latine de nombreux petits partis de la même obédience étaient créés. Ces partis européens bénéficiaient des structures héritées de l'entre-deux-guerres, comme celles bâties par le parti démocrate-populaire en France, par Don Sturzo en Italie et monseigneur Seipel en Autriche.




Les démocraties chrétiennes d'après-guerre

En dehors du parti chrétien-démocrate de Belgique et du parti catholique néerlandais, qui siégèrent régulièrement au gouvernement, la démocratie chrétienne en Europe devait donner naissance à deux grands partis de gouvernement, en Allemagne fédérale sous l'impulsion d'Adenauer, et en Italie avec De Gasperi. Les démocrates-chrétiens français, regroupés dans le MRP (Mouvement républicain populaire), jouèrent un rôle important pendant toute la IVe République. Cependant, l'avènement de la Ve République leur sera fatale. En 1965, ils se fondirent dans le centre. Leur leader, Jean Lecanuet, finira par abandonner toute référence au christianisme.




La CDU allemande (Union chrétienne démocratique) évincée en 1969 par les sociaux-démocrates, seuls les démocrates-chrétiens italiens ont durablement exercé le pouvoir.





Au Chili, la démocratie chrétienne a connu une percée électorale réelle dans les années 1960. En effet, et contrairement aux autres partis d'Amérique latine, étouffés entre les dictatures et les mouvements de gauche, la démocratie chrétienne chilienne a su attirer les voix de l'électorat populaire avec un programme de réformes à forte connotation sociale. L'élection de son leader, Frei, à la présidence reçut l'appui des États-Unis qui virent en lui un barrage contre le Front populaire. Elle renversera ses alliances et, après avoir contribué à l'arrivée d'Allende au pouvoir, elle participera à sa chute.




Les États-Unis ont appuyé et financé les démocraties chrétiennes en Europe pour endiguer l'influence des organisations de gauche et faire obstacle à l'» eurocommunisme». Ils ont favorisé la création d'une véritable internationale démocrate-chrétienne, où le catholicisme a constitué le substrat idéologique pour des partis anticommunistes qui se défendent cependant d'être de droite.




La démocratie chrétienne d'aujourd'hui
En France et depuis 1976, le courant démocrate-chrétien est représenté par le Centre des démocrates-sociaux (CDS), principale composante de l'UDF. En 1996, sous l'impulsion de François Bayrou, le CDS change de référents idéologiques pour s'appeler Force démocrate (FD). En procédant à cette mutation, la démocratie chrétienne française s'est définitivement ancrée dans la laïcité.






La démocratie chrétienne en Allemagne, sous la houlette du chancelier Helmut Kohl, demeure le principal courant politique. Il est appelé, en raison de l'impasse doctrinale dans laquelle se trouvent les sociaux-démocrates, à rester durablement au pouvoir. En effet, en menant à bien le processus de réunification de l'Allemagne, la CDU jouit d'une réelle popularité.




En Amérique latine, la démocratie chrétienne, malgré les difficultés socio-économiques engendrées par l'application de draconiens plans d'austérité, exerce le pouvoir dans la presque totalité des pays. En tenant des discours électoraux résolument populistes, elle a su s'attirer les sympathies de l'électorat populaire

Taranis
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Message par Taranis Mer 9 Mar - 21:14

Les chrétiens sociaux plaident pour une Europe plus juste

Dès l’amorce de la campagne référendaire sur la Constitution européenne, les chrétiens sociaux ont voulu prendre date. Les Semaines Sociales de France – qui ne durent plus que trois jours – sont une institution centenaire. Fondées en 1904, inspirées de l’enseignement social de l’Eglise catholique, elles ont failli périr après mai 68. Elles ont retrouvé des couleurs dans les années 80 à l’initiative d’hommes comme Jean Gélamur, Jean Boissonnat, Michel Camdessus, ancien directeur général du FMI, leur actuel président.

Elles ont donné une preuve éclatante de santé et de rajeunissement en réunissant du 23 au 26 septembre à Lille 4.500 participants, militants, cadres, enseignants, syndicalistes, etc. Plus d’un millier venait de vingt pays de l’Union, notamment d’Allemagne (avec le puissant Comité central des catholiques allemands), d’Italie (Sant’Egidio, Action catholique) et de Pologne.

Les premières semaines sociales européennes sont donc nées à Lille, avec des « parrains » comme Romano Prodi, Jacques Delors, Jean-Claude Juncker, Pascal Lamy, etc. Et des universitaires comme René Rémond, Andrea Riccardi, Bronislaw Geremek, des élus, comme Dieter Althaus, premier ministre de Thuringe, Martine Aubry, nombre d’évêques d’Europe et d’Afrique, dont le cardinal Roger Etchegaray, représentant le pape.


Le « 26 e Etat-membre »

Les chrétiens sociaux n’ont pas fait à Lille de démonstration de force confessionnelle. Ils ont voulu rappeler un héritage, celui des pères-fondateurs de l’Europe, originaires pour beaucoup de cette famille d’esprit. Et réaffirmer des convictions qui, au-delà d’un « oui » implicite à la Constitution, vont toutes dans le sens d’une Europe plus sociale, unie et déterminée en politique étrangère dans les combats pour la paix, plus ardente dans le soutien aux exclus en Europe et dans les continents pauvres, notamment en Afrique.

Jean-Claude Juncker, premier ministre du Luxembourg, a « retourné » un public désenchanté par la lourdeur institutionnelle, les lacunes de l’Europe sociale, les incertitudes nées de l’élargissement et de la perspective d’adhésion de la Turquie. Débattant avec Jacques Delors, le futur patron de l’Eurogroup a montré une résolution antilibérale qui ne pouvait aller que droit au cœur de ce public chrétien.

Coordination de politiques économiques nationales « recroquevillées sur elles-mêmes », harmonisation fiscale, avec des taux minima d’imposition des sociétés, politique de droit du travail européen comprenant un socle de minima sociaux : c’est un discours-programme qu’a prononcé M. Juncker, proclamant sa « fierté » pour le succès de l’euro, mais dénonçant l’incapacité de l’Europe à traiter avec le « vingt-sixième Etat-membre », celui des 25 millions de chômeurs. Pour lui, la déréglementation libérale est coupable : « Elle est devenue la forme la plus malsaine de la pensée unique sur l’économie ».

Jacques Delors aussi s’est employé à apaiser un public impatient : « Tout demander à l’Europe, c’est affaiblir la cohésion nationale ». En revanche, il a distribué ses coups de patte contre les engagements non tenus par les gouvernements nationaux et les solidarités de façade. Pour lui, le triptyque de l’Acte unique - « compétition, coopération, solidarité » - reste à appliquer. De « vrais partis » européens doivent se créer. Il a enfin défendu un modèle communautaire critiqués par des délégués de l’Est venus dire à Lille leur crainte de tomber sous la tutelle de Bruxelles, comme ils étaient hier « sous la coupe de Moscou ».

Le christianisme social peut se flatter d’avoir, en un siècle, réussi à imposer beaucoup de ses idées réformatrices. Il n’en a pas pour autant fini sa tâche. D’une part parce que rien n’est jamais acquis dans une construction européenne, qui peut à tout moment « s’ensabler », comme l’a rappelé Michel Camdessus. D’autre part parce que les droits de l’homme et la justice sociale exigent, selon eux, des politiques familiales volontaristes à l’échelle européenne, des statuts protégeant mieux les travailleurs, des actions de volontariat (service civil de jeunes) en faveur des exclus, d’insertion des immigrés rejetés, etc.

Des utopistes ? Ces assises inédites ont encore réaffirmé la vocation de l’Europe à jouer un rôle de « soldat de la paix » dans le monde. Et, à propos du débat référendaire sur la Constitution, Michel Camdessus a dit à la presse qu’un « non » aurait des conséquences géopolitiques considérables : « Un non serait l’épreuve dont la France n’a pas besoin aujourd’hui ».

Henri Tincq
(paru dans Le Monde du 28/09/04)

Taranis
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Message par Taranis Mer 9 Mar - 21:18

Sociaux-démocrates c'est l'appellation plus politiquement correct de chrétiens-sociaux

De même les centristes ne se disent plus chrétiens-démocrates mais démocrates.

Et à ton avis pourquoi ne se disent ils pas républicains ?


Quelqu'un qui se dit socialiste et non social-démocrate, comme Mélenchon par exemple, se dira spontanément républicain, et non démocrate.


Il y a une nuance de taille à se dire démocrate au lieu de républicain.


Le rayonnement de la Révolution française au sein des milieux libéraux et républicains d'Europe donna naissance à une tradition anticléricale, incarnée surtout par les mouvements socialistes. C'est pour faire contre-poids à l'athéisme ouvrier et républicain que se forma au XIXe siècle une famille politique de réformistes catholiques: la démocratie chrétienne.

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Message par Taranis Mer 9 Mar - 21:23

UNION pour la DEMOCRATIE FRANCAISE

LE SENS DE NOTRE HISTOIRE

L'UDF est enracinée dans une histoire. Et regarder les chemins qu'ont suivi ses pères fondateurs, c'est tracer la route à suivre. Par sa nature même, la démocratie est fragile. Des humanistes, pour qui aucune idéologie, aucun appareil, aucune organisation sociale ne peut avoir plus de valeur que l'homme, ont pris ce combat à bras le corps. Ces femmes et ces hommes, démocrates-chrétiens, humanistes, sociaux-libéraux ont fini par se rassembler. L'UDF est leur héritière.

1939
Contre le nazisme et le communisme, combat de vie ou de mort. Pendant la guerre, de grandes figures et des martyrs moins connus témoignèrent de la force d'un humanisme en actes: de Gilbert Dru, de la Jeunesse étudiante chrétienne, exécuté à vingt quatre ans comme résistant par la Gestapo, jusqu'à Georges Bidault, qui présida le Conseil national de la résistance et sera l'un des fondateurs du MRP.

1945
Après la guerre, la défense de la démocratie, ce fut le combat pour la réconciliation franco-allemande, d'où naquit l'idée de l'Europe unie. Qui y croyait, à l'époque? Par leur force de conviction, Robert Schuman et Jean Monnet portèrent ce projet, convaincus que les peuples qui avaient inventé la démocratie avaient vocation à vivre et à œuvrer ensemble.

1965
Ce fut la vision de l'Europe, justement, qui opposa le général de Gaulle à Jean Lecanuet à l'élection présidentielle de 1965. Et c'est ainsi que Valéry Giscard d'Estaing prendra l'initiative de réunir en 1978 ces familles de l'humanisme social et européen. C'est la naissance de l'Union pour la démocratie française, dont le président est Jean Lecanuet.

1974
Combat pour une modernisation démocratique: président de la République en 1974, Valéry Giscard d'Estaing, avec Raymond Barre comme Premier ministre, entreprend des réformes de société, invente le Conseil européen et décide de l'élection des députés européens au suffrage universel.

1986
Pendant les vingt années qui suivent, les Français vont s'éloigner de la politique. Promesses non tenues, impuissance des mesures contre le fléau du chômage, affairisme, slogans usés, les gouvernements, de gauche comme de droite, ne retrouvent plus le contact avec les Français. Les partis de l'extrémisme et de l'abstention progressent.

1999
Dès 1986, avec Raymond Barre, nous dénonçons la cohabitation, qui déresponsabilise l'action politique. Et quand en 1998, des dirigeants de la droite républicaine s'allient avec l'extrême droite, l'UDF, se rassemble, présidée par François Bayrou, pour faire front contre toute tentation d'accord anti-démocratique.

2002
Pendant les élections européennes de 1999, comme pendant la présidentielle de 2002, François Bayrou est du combat, pour renouveler les discours et les méthodes politiques. A chaque fois, il est entendu, et l'UDF est le troisième parti de la France républicaine. Mais au premier tour de la présidentielle, l'extrême droite emporte la mise, comme un coup de semonce contre toute la classe politique.

Et maintenant ?
L'enjeu est de réconcilier les Français avec la politique et d'enrayer la progression de l'abstention et des extrêmes. Pour l'UDF, la réponse est de proposer non pas une nouvelle structure d'appareil mais le pluralisme et la réforme. Pour l'UDF, la réponse est de construire le mouvement politique le plus motivant et enthousiasmant de la démocratie française parce qu'il repose sur la participation, la relève des générations et des idées nouvelles, celles du XXIe qui rendent de vrais repères aux citoyens.

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Message par Taranis Mer 9 Mar - 21:24

paru dans "courrier international" :

L'improbable béatification de Robert Schuman

"Le Vatican se montre sceptique face à la campagne visant à béatifier le père fondateur de l'Union européenne", annonce le Daily Telegraph. "Lancée par l'Institut Saint-Benoît, groupe privé de la ville de Metz, cette tentative a pourtant obtenu de nombreux soutiens influents, dont celui du président Jacques Chirac", poursuit le quotidien.

Né en 1886 au Luxembourg et élevé dans la ville de Metz, député de la Moselle en 1919, Robert Schuman a servi dans l'armée allemande lors de la Première Guerre mondiale, avant de devenir le président du Conseil, en 1947-1948. "Le Plan Schuman, qui a abouti à la création de la CECA (Communauté européenne du charbon et de l'acier) en 1951, est considéré comme le précurseur de la Communauté européenne", rappelle le Daily Telegraph.

Selon le journal britannique, "le groupe de Metz estime que le mode de vie ascétique et la foi catholique de Schuman contribuent à faire de lui un 'saint homme', selon l'expression même du chancelier allemand Konrad Adenauer". Mais l'enquête approfondie menée par cet institut n'a pu mettre en évidence de véritables miracles dans la vie de l'homme politique. Et, d'après le Telegraph, "le pape ne semble pas prêt à considérer la réconciliation franco-allemande comme un miracle au sens théologique".


Paru sur voxdei :

Le drapeau européen serait-il l'étendard de la "sainte vierge" ?
C. Sauteur, aumônier de l'hôpital de Cluny relate dans un mémoire les diverses péripéties qui conduisirent à l'adoption du drapeau étoilé par le Conseil de l'Europe.
L'abbé P. Caillon rencontra le dessinateur Arsène Heitz, par hasard, devant le Carmel de Lisieux qui lui déclara :
- C'est à moi qu'on a demandé de dessiner le drapeau de l'Europe. J'ai eu subitement l'idée d'y mettre les douze étoiles de la Médaille Miraculeuse de la rue du Bac, sur fond bleu, couleur de la Sainte Vierge.
Le Directeur au Service de Presse du Conseil de l'Europe, M. Lévy, chargé du projet de drapeau européen prit contact avec Arsène Heitz. Plusieurs autres projets furent proposés et c'est finalement celui d'A. Heitz qui fut retenu avec un fond bleu et douze étoiles.
Selon P. Caillon, : M. Lévy était secrètement d'accord pour faire aboutir discrètement le projet de M. Heitz en sauvant les apparences, afin de respecter la neutralité la plus absolue. Et malgré plus de cent projets qui furent en concurrence, c'est le Drapeau de la "sainte vierge" qui triompha au dernier moment.
Et ce triomphe se produisit fortuitement le 8 décembre, sans que personne ait pu chercher cette divine coïncidence.
Le drapeau de l'Europe est bien le drapeau de "notre-dame, reine de la paix".
Le 8 décembre 1955 donc, fête de "l'immaculée conception", ce drapeau fut adopté par le Conseil de l'Europe. On se gardera bien d'y trouver une quelconque connotation religieuse.

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