"Les citoyens pions !"

Les citoyens pions !

Aux dernières élections présidentielles de 2002,
la France a faillit basculer dans l’extrême droite.

Car la campagne électorale était exclusivement axée
sur l’insécurité et non sur un programme politique.

Se qui a permis a Chirac d’être élu par défaut,
pour nous éviter Le Pen.

Même exemple :
La télé américaine a passé en boucle pendant quinze jours,
les tours Twins Center percutés par des avions kamikazes.

Résultat : « Les américains on votés pour le « sécurisant » Georges Bush. »

Ce qui permet aujourd’hui, de réduire le chômage aux Etats-Unis.
En envoyant leur jeunesse se faire tuer où mutiler en Irak.

Nous en France nous sommes plus modeste dans le spectaculaire « merdiatique.»

Nous avons les banlieues qui s’enflamment
et un ministre de l’intérieur qui veut en découdre
avec la racaille sauvageonne.

Car dans 18 mois, Sarkozy attend sa récompense suprême
de tous ses efforts d’annonces et déplacements spectacles.

Notre petit sauveur Saint Nicolas veut absolument être
le numéro un du gouvernement en 2007.

Alors dans la logique des chiffres des sondages et des prétentions :
« Vous les citoyens lambda, vous n’êtes que des pions collatéraux
sur leur échiquier de leurs ambitions politiciennes. »

On ne vous demande pas grand-chose,
simplement de voter, pour qu’ils puissent accéder à leur nouveau poste.

Vous êtes électeur et peut-être futur chômeur,
mais patron décideur d’un jour sur le destin
professionnel d’un élu...

Amusant, mais il y a tromperie dans le CV et dans les nombreuses représentations d’auditions…
C’est bizarre docteur :
«J’ai l’impression qu’ils disent tous inlassablement la même chose ? ».


Aujourd’hui, ils sont en avance dans leur communication
de manipulation émotionnelle, des prochaines élections présidentielles de 2007.

De nouveau les gens vont voter à droite et peut-être même extrême droite…

« Alors mes frères, votons tous en coeur à droite comme tout le monde ! »

Ceci dit avec un gouvernement de droite vos problèmes d’insécurités de chômage,
de logement ne seront pas pour autant résolus…

Mais, je vous rassure, qu’ils seront présents au 20 heures à la télévision à en cas de crise…

Pour vous vendre, une fois de plus, leur habituel plan
et même un rataplan virtuel, pour calmer vos chroniques frustrations de citoyens pions.

Manipulation, voilà le maître mot !
Mais qui manipule qui ?

Manipulation, voilà le maître mot !
Mais qui manipule qui ?

Pour répondre à ta question sur la manipulation
la réponse se trouve en bas de mon texte.

« ETES-VOUS: 0 où 1 ? »

A ECOUTER les journalistes, aux hommes politiques, notre société
dans ses discours sémantiques ne parles plus, quand termes de CONSTAT DE RESULTAT.

« Une obsession récurrente comme un challenge sportif?
Où, plutôt l’exacerbation, d’un nouveau défi libéral industriel sans limite? »

En attendant, la compétition est sauvage autour de la :
« PART DE MARCHE ! ».

Pareil à une religion, son dogme principal est d’une simplicité incontournable.
Trois composantes dans ce monde marchand :
« JE PRODUIS ! JE VENDS ! J’INVESTIS ! ».

Dans un univers de chiffres, de sondages, de courbes de croissances exponentielles possibles.

Etrange rhétorique dans une réunion, de brain-storming aux Etats-Unis !

« L’ULTIME METAPHORE : Etes-vous « 0 » ou « 1 » ?

Attention !
Ceux qui ne seront pas branchés tendance dans le système :
« ON LES JETTENT ! » (Chômage)
Les décideurs savent manipuler, inconsciemment nos affects.

« Nos désirs de consommations ne seraient-elles pas sont issues de nos frustrations existentielles ? »

« Consommer…c’est vivre !»

« La société est-elle pas sous l’influence manichéenne, d’un management collectif ? »

A défaut de réponses où de preuves tangibles, la question reste en suspens ?

Le constat est là :
« Le système subit des désordres d’équilibres, par saturation de ces propres concepts. »

Il doit digérer la multiplicité du monde et les singularités individuelles.

Alors, il se défend, en canalisant les différents lobbys,
des courants d’opinions contradictoires, les mettant les uns contre les autres.

La grande force actuelle, de l’ultralibéralisme réside dans sa complexité,
et surtout sa capacité de générer des dépendances.

« C’est une redoutable entité dominante ! ».