Téhéran et Londres s’accusent mutuellement ....
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Téhéran et Londres s’accusent mutuellement ....
Téhéran et Londres s’accusent mutuellement de soutenir le terrorisme en Iraq
Les gardes frontaliers irakiens ont fait état de l’arrestation d’un espion anglais qui se trouvait parmi un groupe terroriste. " Les gardes des frontières irako-saoudiennes ont arrêté un groupe de 10 terroristes parmi lesquels se trouvait un britannique, Collin Peter ", a fait remarquer Sa’doun Al-Jaberi, porte-parole des forces de la garde frontalière irakienne à Nadjaf, cité par le rapport de la chaîne Al-Alam. Il est accusé d’avoir des liens avec un groupe terroriste dans une des provinces, au sud de l’Iraq, près des frontières saoudiennes. Le porte-parole des occupants britanniques a confirmé la nouvelle sans évoquer plus de précisions à ce propos. Pour certains responsables irakiens, l’arrestation des deux forces de renseignements anglo-américaines que les occupants anglais ont fait fuir et l’arrestation de ce dernier espion britannique se trouvant parmi les terroristes en Iraq, témoignent de la volonté des occupants anglo-américains de provoquer une guerre civile en Iraq.
(La voix de la république islamique d’Iran le 05-10-2005)
Londres a pour la première fois accusé hier l’Iran d’être mêlé aux insurgés sunnites en Iraq et d’avoir fourni à des groupes rebelles des explosifs puissant utilisés dans des attaques contre les soldats britanniques. Des accusations démenties dans la soirée même par Téhéran. " Il y a des preuves que les Iraniens sont en contact avec les groupes sunnites ", a déclaré mercredi aux journalistes, sous couvert de l’anonymat, un haut responsable britannique. Le responsable a aussi accusé les gardiens de la révolution iraniens d’avoir fourni la technologie en matière d’explosifs employés dans une série d’attaques mortelles contre des soldats britanniques en Iraq.
(Radio Riyad le 06-10-2005)
Le ministère iranien des Affaires étrangères a formellement démenti et qualifié de " purs mensonges ", par la voix de son porte-parole, Hamid Reza Assefi, les allégations de la Grande Bretagne concernant l’implication de l’Iran dans l’attaque contre les soldats britanniques dans le sud de l’Iraq, ainsi que dans le trafic d’armes. " L’implication des Britanniques dans ce qui se passe actuellement en Iraq n’est plus un secret et cela pousse Londres à se lancer dans des propos mensongers ", a déclaré M. Assefi avant d’indiquer que les forces occupantes qui sont elles-mêmes un facteur d’insécurité, d’instabilité et de crise en Iraq, tente d’inventer des scénarii et d’accuser les autres. " La politique irakienne de la république islamique d’Iran est positivement constructive, ce que reconnaissent d’ailleurs volontiers les responsables irakiens ", a-t-il ajouté. Rappelons qu’après l’arrestation de deux militaires britanniques à Bassora, dans le sud de l’Iraq, il a été établi qu’ils avaient pour ordre de se déguiser en arabe et de mener des opérations terroristes et d’en faire porter la responsabilité aux opposants afin de préparer le terrain à la poursuite de l’occupation de l’Iraq. Pour fuir ce scandale, l’armée britannique a attaqué la prison de Bassora pour libérer ces soldats.
(La voix de la république islamique d’Iran le 06-10-2005)
Tony Blair a de nouveau mis en garde l’Iran contre toute ingérence en Iraq. La Grande Bretagne accuse Téhéran de soutenir les groupes armés par le biais notamment du Hezbollah libanais. Des accusations rejetées par l’Iran, par le Hezbollah, mais aussi par le Premier ministre irakien Ibrahim Al-Jafaari.
Les gardes frontaliers irakiens ont fait état de l’arrestation d’un espion anglais qui se trouvait parmi un groupe terroriste. " Les gardes des frontières irako-saoudiennes ont arrêté un groupe de 10 terroristes parmi lesquels se trouvait un britannique, Collin Peter ", a fait remarquer Sa’doun Al-Jaberi, porte-parole des forces de la garde frontalière irakienne à Nadjaf, cité par le rapport de la chaîne Al-Alam. Il est accusé d’avoir des liens avec un groupe terroriste dans une des provinces, au sud de l’Iraq, près des frontières saoudiennes. Le porte-parole des occupants britanniques a confirmé la nouvelle sans évoquer plus de précisions à ce propos. Pour certains responsables irakiens, l’arrestation des deux forces de renseignements anglo-américaines que les occupants anglais ont fait fuir et l’arrestation de ce dernier espion britannique se trouvant parmi les terroristes en Iraq, témoignent de la volonté des occupants anglo-américains de provoquer une guerre civile en Iraq.
(La voix de la république islamique d’Iran le 05-10-2005)
Londres a pour la première fois accusé hier l’Iran d’être mêlé aux insurgés sunnites en Iraq et d’avoir fourni à des groupes rebelles des explosifs puissant utilisés dans des attaques contre les soldats britanniques. Des accusations démenties dans la soirée même par Téhéran. " Il y a des preuves que les Iraniens sont en contact avec les groupes sunnites ", a déclaré mercredi aux journalistes, sous couvert de l’anonymat, un haut responsable britannique. Le responsable a aussi accusé les gardiens de la révolution iraniens d’avoir fourni la technologie en matière d’explosifs employés dans une série d’attaques mortelles contre des soldats britanniques en Iraq.
(Radio Riyad le 06-10-2005)
Le ministère iranien des Affaires étrangères a formellement démenti et qualifié de " purs mensonges ", par la voix de son porte-parole, Hamid Reza Assefi, les allégations de la Grande Bretagne concernant l’implication de l’Iran dans l’attaque contre les soldats britanniques dans le sud de l’Iraq, ainsi que dans le trafic d’armes. " L’implication des Britanniques dans ce qui se passe actuellement en Iraq n’est plus un secret et cela pousse Londres à se lancer dans des propos mensongers ", a déclaré M. Assefi avant d’indiquer que les forces occupantes qui sont elles-mêmes un facteur d’insécurité, d’instabilité et de crise en Iraq, tente d’inventer des scénarii et d’accuser les autres. " La politique irakienne de la république islamique d’Iran est positivement constructive, ce que reconnaissent d’ailleurs volontiers les responsables irakiens ", a-t-il ajouté. Rappelons qu’après l’arrestation de deux militaires britanniques à Bassora, dans le sud de l’Iraq, il a été établi qu’ils avaient pour ordre de se déguiser en arabe et de mener des opérations terroristes et d’en faire porter la responsabilité aux opposants afin de préparer le terrain à la poursuite de l’occupation de l’Iraq. Pour fuir ce scandale, l’armée britannique a attaqué la prison de Bassora pour libérer ces soldats.
(La voix de la république islamique d’Iran le 06-10-2005)
Tony Blair a de nouveau mis en garde l’Iran contre toute ingérence en Iraq. La Grande Bretagne accuse Téhéran de soutenir les groupes armés par le biais notamment du Hezbollah libanais. Des accusations rejetées par l’Iran, par le Hezbollah, mais aussi par le Premier ministre irakien Ibrahim Al-Jafaari.
-V-- Langue pendue
- Nombre de messages : 171
Date d'inscription : 10/03/2005
Re: Téhéran et Londres s’accusent mutuellement ....
Ah bon!!!
tu crois des pourris qui plagient des rapports de these d'etudiants ( Ctrl C, Ctrl V)!!!!!
Tu te rappel des Armes de Destruction massive???
Le ridicule Colin powel avec sa capsule a l'ONU????
le lien Ben Laden Saddam!!!!
La Solferino je te mets Carton Rouge pour ta betise!!!!
Tous le monde sais que les britanniques ne sont pas des anges!!!!!
tu crois des pourris qui plagient des rapports de these d'etudiants ( Ctrl C, Ctrl V)!!!!!
Tu te rappel des Armes de Destruction massive???
Le ridicule Colin powel avec sa capsule a l'ONU????
le lien Ben Laden Saddam!!!!
La Solferino je te mets Carton Rouge pour ta betise!!!!
Tous le monde sais que les britanniques ne sont pas des anges!!!!!
-V-- Langue pendue
- Nombre de messages : 171
Date d'inscription : 10/03/2005
Re: Téhéran et Londres s’accusent mutuellement ....
C'est pas la première fois qu'il y a des "incidents" du genre ....
Et tout ça va dan le sens de mon hypothèse de départ : bien loin de "perdre" en Irak,les USA sont en train de "gagner" .
Mais pas le jeu déclaré ....
Un autre jeu ....
Ils ne sont pas venus pour stabiliser la région,mais bien au contraire pour la déstabiliser et ainsi mieux mettre la main mise dessus .
A court terme,ils sont perdnts .
A long terme, ils sont gagnants .
Et tout ça va dan le sens de mon hypothèse de départ : bien loin de "perdre" en Irak,les USA sont en train de "gagner" .
Mais pas le jeu déclaré ....
Un autre jeu ....
Ils ne sont pas venus pour stabiliser la région,mais bien au contraire pour la déstabiliser et ainsi mieux mettre la main mise dessus .
A court terme,ils sont perdnts .
A long terme, ils sont gagnants .
Vous avez dit preuves??
Dans une importante interview accordée à la chaîne ABC, le général Colin Powell a publiquement avoué que son discours prononcé aux Nations unies, dénonçant la présence d’armes de destruction massive en Irak, était regrettable et que cela « ferait tâche dans son dossier ». L’ancien sécrétaire d’État a reconnu que son exposé devant le Conseil de sécurité n’avait d’autre but que de crédibiliser les accusations de l’administration et que les services de renseignement n’avaient « pas bien fonctionné ».
Il a par ailleurs ajouté qu’il n’avait jamais trouvé aucun lien entre l’Irak et les attentats du 11 septembre, tout comme entre Sadam Hussein et Oussama Ben Laden.
« Malgré moi, je suis un guerrier et quand le président a décidé qu’il n’était pas tolérable pour ce régime de rester en violation des résolutions de l’ONU, j’étais d’accord avec lui pour l’usage de la force », a-t’il concédé.
Ces déclarations du général Powell sont une manière élégante de se déclarer inapte au nouveau job désespéré que le président George W. Bush souhaitait lui confier : prendre en charge les rescapés de la Nouvelle-Orléans et assécher un territoire aussi vaste que la Grande-Bretagne envahit par l’océan.
Il a par ailleurs ajouté qu’il n’avait jamais trouvé aucun lien entre l’Irak et les attentats du 11 septembre, tout comme entre Sadam Hussein et Oussama Ben Laden.
« Malgré moi, je suis un guerrier et quand le président a décidé qu’il n’était pas tolérable pour ce régime de rester en violation des résolutions de l’ONU, j’étais d’accord avec lui pour l’usage de la force », a-t’il concédé.
Ces déclarations du général Powell sont une manière élégante de se déclarer inapte au nouveau job désespéré que le président George W. Bush souhaitait lui confier : prendre en charge les rescapés de la Nouvelle-Orléans et assécher un territoire aussi vaste que la Grande-Bretagne envahit par l’océan.
-V-- Langue pendue
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Date d'inscription : 10/03/2005
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