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DERRIÈRE LE CONFLIT CIVIL EN IRAK, LES S.A.S. BRITANNIQUES ?

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Message par -V- Mar 27 Sep - 20:48

Rappel du premier message :

Cette question s’est posée à nouveau le 20 septembre, lorsqu’on a appris que deux soldats des forces spéciales britanniques avaient ouvert le feu sur la police irakienne à un poste de contrôle à Bassora, tuant un policier et en blessant un autre. Les deux soldats étaient vêtus comme des Arabes, plus précisément des chiites appartenant à la milice de Moqtadar al-Sadr, et portaient des turbans noirs. A bord d’une voiture civile, ils avaient refusé de s’arrêter au poste de contrôle. Après la fusillade, les deux soldats britanniques ont été arrêtés et incarcérés, tandis que la foule s’en prenait à des soldats britanniques, mettant le feu à un blindé.

Les autorités britanniques ont alors exigé la libération des deux soldats, la loi irakienne, d’après elles, ne leur étant pas applicables. N’ayant pas obtenu gain de cause, elles donnèrent l’ordre de prendre d’assaut le poste de police et des blindés défoncèrent un mur. Cependant, les deux hommes ne se trouvaient pas sur place, ayant été emmenés dans une maison d’où ils furent ensuite relâchés.

Selon différentes sources dignes de foi, les deux hommes sont membres du Régime de reconnaissance spécial (SRR), formé en 2003 et chargé de recueillir des renseignements en vue des opérations des SAS. La voiture dans laquelle ils circulaient était bourrée d’explosifs et, d’après le Washington Post, ils seraient accusés de « tentative de poser des explosifs ».

A en juger par les rares rapports ayant filtré - la presse britannique ayant dû taire la nouvelle - il semble que l’on ait affaire à une opération classique des SAS de « Gang » ou « Pseudo-gang », dans laquelle des agents clandestins se livrent à des activités de guérilla afin de créer le chaos, de discréditer une résistance légitime ou de déclencher des conflits meurtriers.

Lawrence Cline, du programme de recherches externes de l’US Army War College, écrit que « ces pseudo-opérations impliquent des forces gouvernementales déguisées en guérilleros, habituellement de mèche avec des transfuges du camp de la guérilla, qui opèrent ensemble en infiltrant des zones en insurrection ».

Comme le gouvernement irakien d’Ibrahim Jaafari, les forces d’occupation britanniques se sont empressées de minimiser l’affaire pour étouffer la vérité, potentiellement explosive, sur les activités des forces spéciales en Irak.

source http://solidariteetprogres.org/spip/sp_article.php3?id_article=1915
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Message par -V- Lun 3 Oct - 10:35

et soleferino tu veux des references de Journaux Pro Sioniste la prochaine fois?


Pauvre de toi!

Lis un peu les articles parut dans la presse international du 20 septembre.....
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Message par Duende Lun 3 Oct - 15:05

Cites-moi un seul exemple historique où Jérusalem n'a pas été le centre politique de la Palestine historique. Cites-moi un seul exemple historique où le représentant du pouvoir local assumant la réalité du pouvoir politique en Palestine n'avait pas sa résidence principale à Jérusalem. Peu importe que la ville ait eu ou non le titre nominatif de capitale.

Comment expliques-tu qu'après la WW2 tous les Etats de la région accédèrent à l'indépendance nationale sauf la Palestine, passée de la domination britannique à la colonisation israélienne ?

Comment peux-tu maintenir l'incongruité du peuple palestinien qui apparaîtrait par génération spontanée en 1967 alors que la Palestine ne comptait que 5% de juifs (et encore, moi je les considère comme des juifs palestiniens ou Palestiniens juifs) en 1885 (naissance du sionisme) ?

Pourquoi n'ouvre-tu pas un sujet sur la question plutôt que de venir parasiter sans arrêt tout sujet portant le monde arabe avec ton rétrécissement au conflit israélo-palestinien ?
Pourquoi ne cesses-tu d'importer ce conflit dans des questions qui ne l'évoquent pas ?
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Message par -V- Mer 5 Oct - 10:16

Pour Soleferino...
Ca va te calmer...


Source The Independent (Royaume-Uni)
Référence « Blair must deliver an exit strategy for our troops », par Menzies Campbell, The Independent, 21 septembre 2005.

Résumé Les évènements de Bassora démontrent le danger auquel nos troupes font face. Ces dernières huit semaines, six soldats et deux agents de sécurité britanniques ont donné leur vie en Irak. Ce n’est pas aux dirigeants militaires qu’il faut poser des questions sur ce point ; ils font ce qu’ils estiment devoir faire face à la situation. C’est vers les ministres qu’il faut se tourner. Que prévoient-ils pour faire face au développement de la violence en Irak ? Quand les troupes vont-elles revenir ? Quel est notre stratégie de retrait ?
Cette guerre était illégale et construite sur une fable, mais maintenant que le Royaume-Uni y est engagé, il a une obligation morale à reconstruire ce qu’il a détruit en Irak et à amener ce pays à la stabilité et à la démocratie. Les gouvernements britannique et américain n’ont pas rempli ces objectifs et aujourd’hui l’Irak est au bord de la guerre civile et de l’éclatement. Les troupes britanniques font un travail admirable et nous avons le devoir de les exposer le moins possible. Nous avons aussi des devoirs envers la population d’Afghanistan, mais nous diminuons notre présence dans ce pays pour les envoyer en Irak. Ce n’est pas un bon choix. Nous devons quitter l’Irak progressivement.
Pour pouvoir partir, nous devons intégrer les Arabes sunnites au processus de stabilisation et réparer les services publics. Nous sommes assez largement prisonniers des évènements et il est urgent que le gouvernement clarifie sa politique.
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Message par Duende Mer 5 Oct - 11:40

Solférino a écrit:Mais qu'est ce que tu raconte.....il n'y avait pas d'etat palestinien,il n'y en a jamais eu....celui qui exercait le pouvoir dans cette region etait le representant des Omeyades ,des Mamelouks ou des Ottomans .Au mieux c'etait une province et dans certains cas meme pas (sous le pouvoir ottoman,la Palestine n'existait meme pas en tant que province ,elle etait integree a la Syrie).Et le centre politique ou administratif,je le maintiens n'a jamais ete a Jerusalem ou alors durant de tres courtes periodes.Ce n'etait meme pas un miserable chef lieu de province integree a un grand empire.
Quand au mandat anglais,il s'exercait a la fois sur la Jordanie,la Cisjordanie et Israel actuel.La Jordanie fut cree artificiellement,de meme que l'etat arabe et l'etat juif et finalement au partage de 47,les juifs n'avaient que 12% de cet ensemble (si on compte la Jordanie comme c'etait prevu dans le plan Balfour) ce qui ne me semblait pas excessif.
Si l'etat arabe a disparu,ce fut a la suite d'une guerre malheureuse pour les arabes qu'ils avaient provoque et du reste,une bonne partie fut annexe par la Jordanie a ce moment la et bizarrement personne n'y trouvait rien a redire ....
Bon, tu oublies à chaque fois les Abbassides dans ta chronologie sommaire mais c'est pas grave… Après tout, qu'est-ce que c'est 5 siècles d'histoire ? Une paille.

Il n'y jamais eu d'etat palestinien, mais depuis l'antiquité romaine, et jusqu'à nos jours, la région est dénommée Palestine. Quelle que fut ensuite le royaume ou l'empire englobant cette région (Rome, Byzance, Ommeyyades, Abbassides, Fatimides, Ottomans puis Britanniques) les gouverneurs et émirs locaux administrant la région pour le compte des puissances tutélaires successives ont toujours eu leur siège à Jérusalem.
Par ailleurs, c'est l'Etat musulman dirigé par le calife Omar qui, après la prise de Jérusalem en 638, autorise les juifs à revenir dans la ville après cinq siècles d'interdiction absolue (sous peine de mort) promulguée par l'empire romain. Mais plus tard, lorsqu'arrivent les juifs chassés par les très catholiques couronnes d'Espagne et de France, ceux-ci ne choisirent pas de s'établir à Jérusalem mais dans le nord de la région autour de la ville de Safed.

La region etait faiblement peuplée a ce moment et il n y avait pas je le repete de sentiment d'apartenance commune a un peuple palestien mais + globalement a une nation arabe.
La nation arabe est un concept qui n'apparaît qu'à la fin du XIXe siècle. Telle qu'elle se mesure dans la littérature poétique, dans les lettres de commerce ou dans les échanges diplomatiques, et prévalant aussi bien dans les siècles précédents qu'au XXe, l'appartenance "nationale" des populations vivant en palestine est – on ne peut plus logiquement – une appartenance au "pays" où elles vivent et non une appartenance à Damas, Beyrouth, Le Caire ou Constantinople.
Quant à la forfaiture de la "région faiblement peuplée", c'est l'argument avancé par tous les colonisateurs pour justifier leurs exactions : aux Amériques comme en Afrique.

Pour en revenir au sionisme,l'attrait economique de la region entrainé par ce dernier a fait venir de nombreux immigrants d'autres regions arabes,c'est un fait.
C'est bien connu, "le sionisme a fait venir de nombreux immigrants d'autres régions arabes en Palestine-israël". Les massacres et "transferts" de 48 ne sont qu'une illusion d'optique et les camps de réfugiés palestiniens dans tous les pays voisins une infâme propagande de l'OLP. La diaspora des élites palestiniennes dans l'ensemble des pays arabes et en Occident ne sont également qu'une pure vue de l'esprit. C'est "un fait" dis-tu ? Le fait est surtout que tu es un sacré négationniste sur toutes ces questions. Ou alors tu n'y connais rien et tu fais une confiance aveugle à toute la progande de l'Etat israélien. Je ne sais pas d'où tu sors ni qui tu sers mais je n'ai jamais entendu mes amis et collègues juifs sortir de telles inepties et contre-vérités historiques.



Pour revenir au sujet :
Cars stolen in US used in suicide attacks

By Bryan Bender in Washington
The Boston Globe, October 4, 2005


The FBI's counterterrorism unit has launched a broad investigation of US-based theft rings after discovering some vehicles used in deadly car bombings in Iraq, including attacks that killed US troops and Iraqi civilians, were probably stolen in the United States, according to senior US Government officials.


The FBI's deputy assistant director for counterterrorism, Inspector John Lewis, said the investigation did not prove the vehicles were stolen specifically for car bombings in the Middle East, but there was evidence they were smuggled out of the US by organised criminal networks that included terrorists and insurgents.


Cracking the car-theft rings and tracing the cars could help identify insurgent leaders and shut down one of the means used to attack the US-led coalition and the Iraqi Government, the officials said.


The inquiry began after coalition troops raided a Falluja bomb factory last November and found a Texas-registered four-wheel-drive being prepared for a bombing mission. Investigators said there were several other cases where vehicles evidently stolen in the US wound up in Syria or other Middle Eastern countries and ultimately in the hands of Iraqi insurgent groups, including al-Qaeda in Iraq.

Investigators believed the cars were stolen by local car thieves in US cities, then smuggled to waiting ships at ports in Los Angeles, Seattle, and Houston, among other cities. Terrorism specialists said they believed Iraqi insurgents preferred American stolen cars because they tended to be larger, blended in more easily with US convoys, and were harder to identify as stolen.


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