Haut les mains, je vous arrête.

Rappel du premier message :

Ca se fait à Roubaix.
Les interpellations jusque dans l'école.
Pas de signe religieux dans l'éducation, mais des uniformes oui!
Et l'adjoint à la sécurité se disant pour.
Quant à l'académie, elle regrette simplement sans condamner.
Si la police municipale était aux portes des collèges afin de calmer les élèves et les esprits, la nationnal n'aurait peut être pas à intervenir de la sorte.
Mais dans ma ville, la dite police fait le garde autour du mail Mac Artur Glen et la mairie centrale.
Et dire que notre adjoint à la sécurité se dit être en expert en matière de sécurité. ( Dans sa jeunesse, il piquait des bagnoles ).
Haut les mains, que plus personne ne bouge.
La flikaille entre dans l'E.N.
Et vous fait la démonstration que l'ordre règnera coûte que coûte.
Pan!!!
Mince alors.
Une bavure en public.
Mais c'est de sa faute, car il a fait un geste béliqueux en levant le doigt.
On l'achève chef???
//////////////////////////////////////

Elèves interpellés en classe à Roubaix: l'inspecteur d'académie "regrette"

L'inspecteur d'académie du Nord a déclaré jeudi "regretter les modalités" de l'interpellation par la police de deux élèves, en pleine classe, mercredi au collège Sévigné de Roubaix (Nord), où plusieurs faits de violence ce sont produits ces derniers jours. "On ne peut que regretter les modalités de ces interpellations sur le temps scolaire, dans la classe", a déclaré lors d'un point presse Michel Soussan, qui a demandé l'ouverture d'une enquête administrative sur ces faits et la situation au collège Sévigné. "La principale (du collège) a estimé, cela est de sa responsabilité, qu'il était urgent, impératif de procéder à une interpellation pour prévenir d'autres faits, d'autres violences", a-t-il expliqué. Selon une enseignante, les deux élèves de troisième ont été "menottés dans leur classe" avant d'être emmenés par la police. Deux autres élèves du collège, dont un âgé de 17 ans, ont aussi été interpellés mercredi hors de l'établissement, a précisé M. Soussan. Jeudi matin des élèves ont retardé leur entrée en classe pour protester contre l'intervention policière qui a aussi choqué des enseignants. Les quatre mineurs interpellés, qui étaient encore en garde-à-vue jeudi en début d'après-midi selon la police, sont soupçonnés d'être les auteurs de jets de bouteilles d'acide et d'agressions sur des membres du personnel dans l'enceinte du collège. Les enseignants avaient fait valoir leur "droit de retrait" à plusieurs reprises ces derniers jours, estimant "la sécurité des élèves et des adultes en danger". Des parents d'élèves ont appelé à une opération "collège mort" vendredi, pour dénoncer ces violences.

Franchement, il en est certains qui devraient réaprendre à cerner le sujet.
La violence dans le milieu scolaire et la façon de la traiter.
Pas l'immigration, le borgne et les vendeurs de came et j'en passe...
Le collège en question n'a pas de problème particulier et c'est d'un incident mineur, que l'on accouche d'une montagne. Avec canpagne de presse à l'appuis et en mettant à l'index une ville. Qui sert de support à n'importe quoi, pour faire du reportage bidon.
Le traitement de cette affaire qui est des plus lamentable sachant que ce traitement, a été décidé en parti par le pouvoir politique. ( Adjoint au maire et police de proximité )
Le viol de l'enceinte scolaire par la flikaille, qui est inadmissible.
Le fait que le rectorat ne condamne pas cette intrusion.
L'effet catastrophe sur la manière que la police aura auprès des jeunes. Elle n'avait déjà pas bonne presse, cela ne va pas arranger son image.
Le manque de concertation entre les partenaires, soit les parents, les autorités communales, le corps enseignant comme le suggérait Zora. Dans une ville qui se targue d'être à la pointe de la participation démocratique des habitants, cela me fait sourire.

même si je ne suis pas en accord à 100% avec Ungern, je ne vois rien de choquant dans ses propos, il a exposé son point de vue clairement (pour une fois.. lol) et sans provocation inutile...
Zoubida, tu as evidemment pas lu, mal compris, mal interprété ce qu'il a ecrit...

zoubida a écrit:
L'école de la République n'est qu'un endroit où les mots Liberté, Egalité et Fraternité ne sont plus de mise, depuis la loi sur la laïcité.

Ah, mieux vaut lire ça que d'être aveugle....'tain, j'en ferais presque pipi dans ma culotte...

zoubida a écrit:

Et la police nationale qui est en droit de convoquer un mineur, mais pas de l'interpeller en classe. A mon humble avis, un bon avocat devrait pouvoir plaider sur vice de forme dans la procèdure.

Je vais vous décevoir, mais un bon avocat vous dirait qu'un mineur peut être interpellé n'importe où s'il est soupçonné de planquer une bouteille remplie d'acide dans son cartable.

Un collège n'est pas un lieu privé, la preuve cela est régis par des lois d'éducation.

Un Collège est un lieu public régi par les lois en vigueur sur le territoire de la République.

Une agression physique dans un collège, ça relève du pénal, pas seulement d'heures de colles





Sur le fond de l'affaire, j'avoue ne pas comprendre pourquoi ce Collège n'a pas demandé une présence policère extérieure, qui a en général un effet dissuasif.
Si cela s'était avéré inefficace, ok, on pouvait passer à la PJ.

Si les profs ont invoqué leur droit de retrait, je leur fait confiance, c'est qu'ils devaient réellement se sentir menacés.

Et un prof qui se sent menacé dans l'exercice de ses fonctions par ses léèves, oui, c'est grave, et je suis épatée (dans un sens très négatif) qu'on ait pu en arriver là...



Mais une interpellation en salle de cours n'était pas nécessaire.

Dans mon bahut, c'est arrivé 3 ou 4 fois pour des affaires de shit (3 il me semble..) et les élèves ont été convoqués dans le bureau du principal pendant les cours, ce qui fait que l'interpellation n'a pas été franchement publique (et les menottes n'ont pas été utilisées, d'ailleurs, les flics étaient en civil)


La théorie de l'exemple, on sait que ça ne marche pas des masses, même (voire surtout) avec des ados prédisposés à la transgression et à la rebellion contre l'autorité...

Collège mort" à Roubaix contre les violences, trois mineurs mis en examen


ROUBAIX (AFP) - Le collège Sévigné de Roubaix (Nord) a été paralysé vendredi par une opération "collège mort", pour dénoncer les violences au sein de l'établissement qui ont conduit mercredi à l'interpellation controversée de deux élèves en pleine classe.

Vendredi soir, deux élèves et un ancien élève ont été mis en examen pour "fabrication et détention d'engins explosifs" et "violence avec arme n'ayant pas entraîné une incapacité de travail supérieure à huit jours".

Le procureur de la République de Lille Philippe Lemaire avait requis la mise en examen des deux collégiens, de 14 et 16 ans, interpellés en classe. Un seul l'a finalement été, le plus âgé ayant été entendu comme témoin assisté par le juge chargé de l'enquête sur les violences dans ce collège classé en ZEP.

Les deux autres mineurs mis en examen sont un collégien et un ancien élève exclu pour port d'arme prohibé, âgés de 12 et 14 ans, interpellés jeudi hors de l'établissement.

Ils risquent cinq ans d'emprisonnement. Les trois ont été remis à leur famille, mais placés sous la tutelle de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ).

Vendredi matin, devant les grilles du collège où ils ont accroché des pancartes proclamant l'innocence de leurs camarades, une quarantaine de collégiens chahutaient, en dénonçant l'intervention des policiers dans la classe.

"C'est collège mort, on a demandé aux parents de garder les élèves chez eux", a déclaré Sabine Lebacq, une parente d'élève, qui regrettait la présence des enfants devant l'établissement. Seule une dizaine des 480 élèves est allée en cours vendredi matin, parfois sous les huées des autres.

Les policiers sont intervenus mercredi en classe accompagnés de la principale "cinq minutes avant la fin du cours", a raconté Sarah, élève de 3e. Ils ont, selon elle, expliqué aux élèves les peines de prison encourues pour des jets de bouteille d'acide avant de menotter les collégiens.

"Ils sont sortis pendant la récréation devant tout le monde. Ils avaient pas à faire ça", s'est insurgé Damien, un autre collégien.

Dans une déclaration lue à la presse, les professeurs ont déploré de ne pas avoir été entendus, alors qu'ils affirment avoir "à de nombreuses reprises alerté la direction sur la lente montée des comportements déviants".

"Le recours à la police a été proposé par l'Inspection académique et mis en oeuvre par la principale du collège. Les professeurs consultés ont mis en garde contre les dérives probables", ont-ils dénoncé, précisant que cette déclaration avait été approuvée par les parents d'élèves.

Pour le procureur de Lille, "il y a une place pour l'éducation et une place pour l'action de la justice (...) On avait à faire à des faits délictueux et il n'y a pas de sanctuaire dans la République".

L'inspecteur d'académie du Nord, Michel Soussan, avait regretté jeudi "les modalités de l'interpellation" et demandé l'ouverture d'une enquête administrative sur ces faits et la situation au collège Sévigné.

Goguenard, un élève de 6e aux lourdes lunettes a rappelé qu'avant les jets de bouteille d'acide, les élèves s'amusaient à lancer des boules de neige sur "les profs, les vitres, les surveillants". Puis des oeufs et de tomates pourries "quand il y avait plus de neige".

Des gamins devant le Collège brandissaient des pancartes "NON AU RACISME".....j'ai du mal à comprendre

Patience a écrit:
Des gamins devant le Collège brandissaient des pancartes "NON AU RACISME".....j'ai du mal à comprendre

ça devient l'excuse facile... comme kan le fait d'assimiler toute critique du gouvernement israelien à de l'antisémitisme... sauf que là.. c une histoire qui est juste et uniquement en France

Heureusement, on en est pas là...

Une fillette de cinq ans menottée par la police après une colère à l'école


MIAMI (Etats-Unis) (AFP) - Une fillette de cinq ans a été menottée puis emmenée par la police de Floride (sud-est) après être entrée dans une colère destructrice en classe, a indiqué vendredi le journal St Petersburg Times.

Les élèves étaient en train de compter des bonbons pour un exercice de mathématiques lorsque l'enfant s'est révoltée contre sa maîtresse qui lui retirait les confiseries. La fillette lui a porté un coup dans l'estomac, a cassé des assiettes et jeté des livres, selon le journal.

Alertée, la police est arrivée pour calmer l'enfant en lui attachant les pieds et les mains avant de l'emmener dans un véhicule policier, affirme le journal.

"Je ne veux pas aller en prison", a lancé la fillette, qui a été ensuite remise à ses parents. Elle ne devrait pas retourner dans son école, selon sa mère.

Patience a écrit:

zoubida a écrit:
L'école de la République n'est qu'un endroit où les mots Liberté, Egalité et Fraternité ne sont plus de mise, depuis la loi sur la laïcité.

Ah, mieux vaut lire ça que d'être aveugle....'tain, j'en ferais presque pipi dans ma culotte...

Mais n'hésitez pas faites.Vous voulez des couches culotte???
On vous sait fervente défenseuse de la cause des femmes opprimées portant le voile.
Et de croire que l'égalité des chances passe par l'obligation à une tenue vestimentaire à l'occidentale.
Vous expliquerez l'égalité des chances aux éleves exclus du système scolaire de par cette loi. Siks compris bien entendu...


Quant à parler de pencarte dénonçant le racisme pour ce cas, vous me direz où vous avez vu cela.
Pour vous répondre sur l'intervention en elle même, elle est illégale car le menottage des mineurs ne s'imposait pas. C'est dans ce sens que l'avocat d'un des gamins va défendre et envisage le dépôt d'une plainte.
Un collège est propriété privé où s'applique les lois de la république. Les murs sont mis à disposition du rectorat.
Cette affaire a été gérée de manière lamentable car il existait des signes avant coureur de nervosité dans le quartier en question. Par exemple le centre social aux mains des communaux du quartier, qui avait fait porte close, justement pour des faits de violence.

zoubida a écrit:

Et de croire que l'égalité des chances passe par l'obligation à une tenue vestimentaire à l'occidentale.
Vous expliquerez l'égalité des chances aux éleves exclus du système scolaire de par cette loi. Siks compris bien entendu...

Ah, me suis-je prononcé pour le port de l'uniforme...?

Mon dieu mon dieu, mais si c'est juste une petit bout de tissu sans importance, ben qu'ils l'enlèvent...


Je me fiche royalement des deux douzaines d'intégristes qui ont préféré choisir leur religion plutôt que leur instruction.
Je m'intérese bien plus à ceux et celles pour qui l'école est un lieu d'émanciaption, en particlier grâce à des barrières interdisant aux fondamentalismes de tous bords d'y pénétrer.
Ceux pour qui les 38 heures de cours par semaine sont une bouffée d'oxygène, et en particlier celles qui ne peuvent laisser leurs cheveux au vent que dans l'enceinte de leur école


Maintenant, si ça me fait marrer votre réflexion, c'est parce que je trouve qu'il y a des choses bien plus graves qui elles, auraient effectivement méritées que l'on dise que Liberté/égalité/fraternité ne s'appliquait plus à l'école.

Mais nous n'avons pas la même échelle de valeurs.

Quant à parler de pencarte dénonçant le racisme pour ce cas, vous me direz où vous avez vu cela.

Dépêche + photo AFP, yahoo, Google, l'inetrnaute, l'Express, le Monde etc.....mais si vous y tenez


http://fr.news.yahoo.com/050318/202/4bgpl.html

Pour vous répondre sur l'intervention en elle même, elle est illégale car le menottage des mineurs ne s'imposait pas. C'est dans ce sens que l'avocat d'un des gamins va défendre et envisage le dépôt d'une plainte.

C'est au policier de décider si le menottage s'impose ou non.
Le juge n'appréciera qu'une erreur manifeste d'appréciation.

Et quand bien même il déciderait que le menottage était inapproprié, ce ne serait qu'un vice de procédure formel qui ne peut en aucun cas annuler la procédure (on est pas dans une série télé américaine non plus)

Un collège est propriété privé où s'applique les lois de la république. Les murs sont mis à disposition du rectorat.
Cette affaire a été gérée de manière lamentable car il existait des signes avant coureur de nervosité dans le quartier en question. Par exemple le centre social aux mains des communaux du quartier, qui avait fait porte close, justement pour des faits de violence.

Ben oui, j'ai pas dit autre chose...

Patience a écrit:

zoubida a écrit:

Et de croire que l'égalité des chances passe par l'obligation à une tenue vestimentaire à l'occidentale.
Vous expliquerez l'égalité des chances aux éleves exclus du système scolaire de par cette loi. Siks compris bien entendu...

Ah, me suis-je prononcé pour le port de l'uniforme...?

Mon dieu mon dieu, mais si c'est juste une petit bout de tissu sans importance, ben qu'ils l'enlèvent...


Je me fiche royalement des deux douzaines d'intégristes qui ont préféré choisir leur religion plutôt que leur instruction.
Je m'intérese bien plus à ceux et celles pour qui l'école est un lieu d'émanciaption, en particlier grâce à des barrières interdisant aux fondamentalismes de tous bords d'y pénétrer.
Ceux pour qui les 38 heures de cours par semaine sont une bouffée d'oxygène, et en particlier celles qui ne peuvent laisser leurs cheveux au vent que dans l'enceinte de leur école


Maintenant, si ça me fait marrer votre réflexion, c'est parce que je trouve qu'il y a des choses bien plus graves qui elles, auraient effectivement méritées que l'on dise que Liberté/égalité/fraternité ne s'appliquait plus à l'école.

Mais nous n'avons pas la même échelle de valeurs.

Quant à parler de pencarte dénonçant le racisme pour ce cas, vous me direz où vous avez vu cela.

Dépêche + photo AFP, yahoo, Google, l'inetrnaute, l'Express, le Monde etc.....mais si vous y tenez


http://fr.news.yahoo.com/050318/202/4bgpl.html

Pour vous répondre sur l'intervention en elle même, elle est illégale car le menottage des mineurs ne s'imposait pas. C'est dans ce sens que l'avocat d'un des gamins va défendre et envisage le dépôt d'une plainte.

C'est au policier de décider si le menottage s'impose ou non.
Le juge n'appréciera qu'une erreur manifeste d'appréciation.

Et quand bien même il déciderait que le menottage était inapproprié, ce ne serait qu'un vice de procédure formel qui ne peut en aucun cas annuler la procédure (on est pas dans une série télé américaine non plus)

Un collège est propriété privé où s'applique les lois de la république. Les murs sont mis à disposition du rectorat.
Cette affaire a été gérée de manière lamentable car il existait des signes avant coureur de nervosité dans le quartier en question. Par exemple le centre social aux mains des communaux du quartier, qui avait fait porte close, justement pour des faits de violence.

Ben oui, j'ai pas dit autre chose...

Entièrement d'accord avec toi, sur le sujet du voile, Patience.
Tiens, l'autre jour, à la télé, sur un reportage fait en Iran, le journaliste interrogeait des femmes dont on sentait bien que pour elles, se "simple bout de tissu" était des plus pesants. A un moment, il demande à l'une d'elles si elle aimerait l'enlever. Réponse : "Tiens, bien sûr que j'aimerais l'enlever!"...
Le voile est une barbarie imposée à la femme. L'interdire dans l'enceinte scolaire est bien un minimum. D'ailleurs, la plupart des jeunes filles qui le portaient l'ont enlevé. Les récalcitrantes sont minoritaires.

Que je regrette qu'on ne puisse pas mettre des menottes à certain ou a certaine cela eviterai de lire des aneries........

quidam a écrit:Que je regrette qu'on ne puisse pas mettre des menottes à certain ou a certaine cela eviterai de lire des aneries........

Ca c'est certain nom d'un bardot!!!
Signe ostentatoire professionnel interdit dans les collèges.
Les menottes, le tonfa, le riogum, le gilet enti bastos,la combinaison de guif De Rak, toute cette panoplie n'a pas à sortir du commissariat.
Et pourquoi que l'on a fait la loi sur la laïcité z-alors, sik moins d'un an après l'avoir adopté, y en a qui la détourne. Hein!!!

Vous melangez tout et n'importe quoi la loi sur la laîcité n' a rien à voir la dedans. La violence n'est pas laîque ou religieuse non d'une pipe, que vienne faire des bouteilles d'acide en classe et cela n"a rien à voir avec le racisme non d'un chien tout est bon pour manifester et cela ne veut plus rien dire, si un membre de votre famille était touché par l'acide de ces sauvageons que diriez vous? vous manifesteriez sous quelle pancarte? moi je choisis " non à la chianlie à l'école et l'acide au labo"

quidam a écrit:Vous melangez tout et n'importe quoi la loi sur la laîcité n' a rien à voir la dedans. La violence n'est pas laîque ou religieuse non d'une pipe, que vienne faire des bouteilles d'acide en classe et cela n"a rien à voir avec le racisme non d'un chien tout est bon pour manifester et cela ne veut plus rien dire, si un membre de votre famille était touché par l'acide de ces sauvageons que diriez vous? vous manifesteriez sous quelle pancarte? moi je choisis " non à la chianlie à l'école et l'acide au labo"

Mais non je ne me mélange pas les pinceaux.
Bien au contraire, je remets les choses en place.
Jamais je n'ai avalisé la violence en milieu scolaire, mais je n'avalise pas non plus la violence policière dans cette affaire.
Comme vous, je ne donne pas crédit à la thèse du racisme.
En plus, cela se passe dans ma ville et je suis donc aux premières loges, pour pouvoir donner un avis.
Il est expliqué dans le fil de ce forum, et c'est à vous de savoir faire la part des choses.
Voici un exemple de récupération que je ne cautionne pas.
Il y a mélange des combats et certains en profitent.
A nottifier que je connais l'auteur de cet article.
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Opération Cow-boy des policiers dans le collège Sevigné : qui étaient les indiens-indigènes ?

LE MOUVEMENT DES MAGHRÉBINS LAÏQUES DE FRANCE SOUTIENT LA PRINCIPALE, MADAME LABRANCHE
mardi 22 mars 2005, par Messaoud Bouras


Après une série d’incidents au collège Sévigné de Roubaix, dont le jet de bouteilles d’acide sur une principale et une conseillère principale d’éducation, deux élèves de 14 et 16 ans avaient été interpellés mercredi matin en classe, menottés devant leurs camarades. Un ancien élève, exclu pour port d’arme prohibé, et un autre élève, tous deux âgés de 12 et 14 ans, ont été interpellés jeudi en dehors de l’établissement. Le procureur de la République de Lille Philippe Lemaire annoncé vendredi 18 mars au cours d’une conférence de presse qu’il avait a requis la mise en examen de trois élèves et d’un ancien élève du collège Sévigné de Roubaix (Nord) interpellés mercredi et jeudi. pour "fabrication et détention d’engins explosifs" et "violence avec arme n’ayant pas entraîné une incapacité de travail supérieure à huit jours", Il a précisé qu’ils risquaient cinq ans d’emprisonnement. Après cette interpellation par la police en classe de deux collégiens, la FSU et l’inspecteur d’Académie du Nord ont dénoncé les modalités de l’opération. Jeudi, le secrétaire général de la FSU, Gérard Aschieri, a estimé que l’interpellation de deux élèves en pleine classe était "peu compatible avec la dimension éducative". Gérard Aschieri n’a pas nié qu’"au cas par cas une intervention policière se justifie", mais a critiqué "le caractère spectaculaire" de cette interpellation, "peut-être un peu en contradiction avec la visée éducative que peut avoir un établissement scolaire". "Mais c’est sous réserve de connaître plus précisément les circonstances" de cette opération, a-t-il ajouté. L’inspecteur d’Académie du Nord, Michel Soussan a lui-même déclaré jeudi "regretter les modalités" de l’interpellation. "On ne peut que regretter les modalités de ces interpellations sur le temps scolaire, dans la classe", a déclaré lors d’un point presse, qu’il avait demandé l’ouverture d’une enquête administrative sur ces faits et la situation au collège Sévigné.

Le MMLF exprime son soutien aux enseignants et à la Principale, Madame Labranche, confrontés à une grave dégradation de leurs conditions de travail. L’Education Nationale a des obligations envers son personnel et ses élèves. La sécurité et la tranquillité font partie de ces obligations sans lesquelles les élèves ne peuvent étudier sereinement.

Le MMLF condamne fermement le jeu de la « patate chaude » que chacun des acteurs concernés se refilent pour se défausser de ses responsabilités. Cela s’est traduit par la désignation de la Principale, Madame Labranche comme principalement responsable des dysfonctionnements du collège Sévigné.

Ce processus de bouc-émisaire s’est fait à grand renfort d’une rhétorique managériale : inexpérience de la principale, gestion de crise critiquable, mauvaise communication de crise, insuffisance du partenariat avec les services de police etc..au point qu’une enquête administrative a été diligentée par l’Inspection Académique. Quant aux élèves, ils considèrent comme « injustice » ou « racisme » la répression des délits commis par « l’un des leurs ». A force de renchérir et faire campagne contre « la police et la justice coloniales » prétendument appliquée aux personnes issues de l’immigration, et contre « la gestion coloniale des quartiers », les pyromanes de la République qui développent ce discours, devraient s’interroger sur le sens de cette violence que nous constatons quotidiennement sur la Ville de Roubaix. Après l’accumulation sur la Ville de Roubaix d’agressions contre les symboles de la République et les personnes qui l’incarnent (enseignants, travailleurs sociaux, policiers), une question dérangeante se pose : les jeunes d’origine étrangère et plus particulièrement maghrébine sont-ils plus concernés que d’autres dans ces actes d’agressions commis à l’encontre des agents du nouveau colonialisme post-colonial ? Cette question est des plus sensibles. C’est même l’un des tabous les plus ancrés de notre République. A tort ou à raison, il y a une mémoire collective d’un exercice de l’oppression française - La méthode de démonstration est la suivante : la France est coloniale puisqu’elle a des DOM TOM et la France a été coloniale en Afrique. Conclusion : qui a été sera. La France l’a été, donc elle est coloniale ; par conséquent tout ce qu’elle fait est colonial. Même à l’intérieur de l’hexagone ! (1) Si un Etat est jugé colonial, donc étranger, illégitime, la lutte contre lui deviendrait dès lors légitime : c’est le but recherché par le désormais célèbre texte des Indigènes de la République qui vise à faire d’un français vivant sur le sol de ses ancêtres un colon, un occupant illégitime, une personne à combattre. Aussi comment ne pas percevoir que les agressions des enseignants, émeutes de banlieue avec destruction des voitures et des bus, caillassages de pompiers et de policiers, destructions d’écoles etc. sont des mises en pratique de cette idéologie qui fait de l’Etat et des Français l’ennemi à abattre ? (1) Il y avait les actes de guerre civile à travers des émeutes, pillages, voici la déclaration et les justificatifs théoriques signés, revendiqués avec l’appel des Indigènes de la République. Et lors du dernier conseil municipal de la Ville de Roubaix, la majorité municipale de gauche a accordé une subvention à l’Université Populaire et Citoyenne dont plusieurs conférenciers sont justement les principaux initiateurs de la pétition des Indigènes de la République et dont les débats seront retransmis par la radio communautaire PASTEL FM, dont le président est Slimane Tir, chef de file des Verts sur Roubaix. La boucle est bouclé ....(2) Le bon sens populaire nous dit que « si on veut éviter de fabriquer des sauvageons, il faut les éduquer ». L’étymologie du mot éducation nous indique qu’en latin, cela vient de « duce, conduire. ». Conduire, qui donc ? Hé bien justement celui qui vient au monde, c’est-à-dire l’enfant. Ainsi, éduquer, c’est conduire l’enfant pour qu’il devienne un adulte responsable c’est-à-dire un adulte dont le oui est un oui, dont le non est un non, qui ne pratique pas la langue de bois, qui ne trompe pas, qui ne triche pas. C’est quand même une lourde responsabilité. Et l’attitude de certains pyromanes est irresponsable.

Dans ce contexte, la critique des policiers relève de la démagogie. En effet, la reconquête républicaine des quartiers et des écoles est un enjeu majeur, qui passe par des séquences inévitables de tension et de confrontation. Un médicament qui ne produit pas de poussée de fièvre est souvent inefficace.

Alors que nous fêtons l’anniversaire de la loi sur les signes religieux ostensibles, il convient de rappeler combien la fermeté de cet acte hautement symbolique était nécessaire pour que l’Etat s’affirme. Messaoud Bouras Mouvement des Maghrébins Laïques de France (1) cf texte de Antoine Subiaco « l’art d’être colon chez soi » : http://www.primo-europe.org/docs.php ?numdoc=Do-75010897

(2) C’est une stratégie d’escalade intelligemment menée que les islamo-gauchistes ont mis en place avec leur Université Populaire et Citoyenne. En effet, la plupart des conférenciers qui interviendront en 2005 pour l’Université Populaire et Citoyenne de Roubaix sont aussi des initiateurs de l’Appel des Indigènes de la République comme par exemple Saïd Bouamama, Pierre Tevanian, , Sylvie Tissot, Nacira Guenif-Souilamas.. Préalablement, le 25 mars 2005 avant la conférence du 1 avril de Tariq Ramadan, ce sont Michel Tubiana et Alain Gresh, respectivement président de la Ligue des Droits de l’Homme et rédacteur en chef du Monde Diplomatique et principaux soutiens de Tariq Ramadan qui interviendront pour l’Université Populaire et Citoyenne de Roubaix (UPC). L’UPC de Roubaix est fortement investie et instrumentalisée par les Verts de Roubaix ainsi que Ali Rahni et Siham Andalouci tous deux membres des Verts de Roubaix, Responsables du Collectif des Musulmans de France, proche de Tariq Ramadan et respectivement porte-parole et membre du bureau national chargée de la question du voile. Ils sont également très actifs au sein du collectif une école pour tous et toutes. Siham ANDALOUCI est également Secrétaire Nationale de l’association « Présence Musulmane », association aussi animée par Tariq Ramadan et Présidente de l’association « Juste cause » créée pour aider Tariq Ramadan lors de son procès contre Lyon Mag’ mais qui continue à récolter des fonds.

Ainsi, éduquer, c’est conduire l’enfant pour qu’il devienne un adulte responsable c’est-à-dire un adulte dont le oui est un oui, dont le non est un non, qui ne pratique pas la langue de bois, qui ne trompe pas, qui ne triche pas. C’est quand même une lourde responsabilité. Et l’attitude de certains pyromanes est irresponsable.

Dans ce contexte, la critique des policiers relève de la démagogie.

D'accord avec ça. Ce ne sont pas les policiers qui ont lancé l'acide et jouer avec des explosifs.

Régis

Régis a écrit:

Ainsi, éduquer, c’est conduire l’enfant pour qu’il devienne un adulte responsable c’est-à-dire un adulte dont le oui est un oui, dont le non est un non, qui ne pratique pas la langue de bois, qui ne trompe pas, qui ne triche pas. C’est quand même une lourde responsabilité. Et l’attitude de certains pyromanes est irresponsable.

Dans ce contexte, la critique des policiers relève de la démagogie.

D'accord avec ça. Ce ne sont pas les policiers qui ont lancé l'acide et jouer avec des explosifs.

Régis

Tiens donc!!!
Y a des explosifs maintenant dans l'histoire...
Daccord avec quoi???
Car le sujet n'est pas de remettre en cause le fait que certains élèves se sont mis hors la loi, mais de se positionner face à la violence scolaire et des jeunes en général ( à ne pas prendre au pied du mot ) et la gestion de cette crise ayant aboutie, à une arrestation avec menotte dans une sale de classe.
Et des déviances de la presse ayant fait mousser le truc.
Etonnant que personne n'a fait allusion au restriction de personnel par la supression des emplois jeunes dans ces collège.

Est-ce que tu as lu le texte que tu as mis en ligne où si tu l'as seulement copié-collé ?

Dans le texte que tu as mis en ligne, il est écrit que :

Le procureur de la République de Lille Philippe Lemaire annoncé vendredi 18 mars au cours d’une conférence de presse qu’il avait a requis la mise en examen de trois élèves et d’un ancien élève du collège Sévigné de Roubaix (Nord) interpellés mercredi et jeudi. pour "fabrication et détention d’engins explosifs"

et je suis d'accord aves celui qui l'a écrit qui dit que c'est de la démagogie de s'en prendre aux policiers. Souvent dans les textes de lois, on retrouve cette expression "agir comme un bon père de famille" Le bon père de famille comme il s'est occupé de ses enfants et s'est ému bien avant que son fils ait de l'acide ou des explosifs dans les mains n'a pas de problème de cet ordre. Pour le mauvais père qui ne s'est pas occupé, ça prend toute une série de "pères de remplacement" pour qui ça va être plus difficille de redresser "l'arbre poussé croche".

Et justement dans cet image d'arbre poussé croche, il y a l'idée d'une force, d'un tuteur. On attache l'arbre et on espère que ça va aller dans la bonne direction. Si quelqu'un s'en prend au tuteur, c'est qu'il ne prend pas en compte tout le processus.

Mais je ne faisais qu'être d'accord avec toi qui disait que critiquer les policiers dans cette histoire c'était de la démagogie.

Régis a écrit:Est-ce que tu as lu le texte que tu as mis en ligne où si tu l'as seulement copié-collé ?

Dans le texte que tu as mis en ligne, il est écrit que :

Le procureur de la République de Lille Philippe Lemaire annoncé vendredi 18 mars au cours d’une conférence de presse qu’il avait a requis la mise en examen de trois élèves et d’un ancien élève du collège Sévigné de Roubaix (Nord) interpellés mercredi et jeudi. pour "fabrication et détention d’engins explosifs"

et je suis d'accord aves celui qui l'a écrit qui dit que c'est de la démagogie de s'en prendre aux policiers. Souvent dans les textes de lois, on retrouve cette expression "agir comme un bon père de famille" Le bon père de famille comme il s'est occupé de ses enfants et s'est ému bien avant que son fils ait de l'acide ou des explosifs dans les mains n'a pas de problème de cet ordre. Pour le mauvais père qui ne s'est pas occupé, ça prend toute une série de "pères de remplacement" pour qui ça va être plus difficille de redresser "l'arbre poussé croche".

Et justement dans cet image d'arbre poussé croche, il y a l'idée d'une force, d'un tuteur. On attache l'arbre et on espère que ça va aller dans la bonne direction. Si quelqu'un s'en prend au tuteur, c'est qu'il ne prend pas en compte tout le processus.

Mais je ne faisais qu'être d'accord avec toi qui disait que critiquer les policiers dans cette histoire c'était de la démagogie.

Je vous retourne votre question.
Avez vous lu ma réponse???
Je ne parle pas de démagogie dirigée sur la flikaille, mais de l'acte d'arrêter un mineur dans une enceinte scolaire.
Philippe Lemaire peut dire ce qu'il veut, je le sais de moins en moins crédible.
Qu'il mette de l'ordre du côté des notables de la régions, avant de nous faire un spicht sur un truc, simplement pour se faire de la publicité.
Car il était au courant de la situation, il est en relation avec l'adjoint à la sécurité de ma ville et aussi donneur d'ordre auprès du commissariat central.
Sur cette affaire, l'on ne désigne pas les tuteurs des mis en cause, pour l'éducation qu'ils ont dispensé à leur progéniture.
Avant de rechercher si la flikaille est responsable de ceci ou cela, je recherche les causes du pourrissement de la situation.
Une fois cela localisé, je fais table rase et demande aux différents partenaires de se mettrent à travailler à la création d'un climat plus propice aux élèves.
C'est en partie ce qu'a proposé Zora ancienne élue et impliquée dans le circuit des parents d'élève.
Pour le reste, je réaffirme mon opposition, à ce que la police intervienne de cette façon envers un mineur et dans l'enceinte scolaire.

D'après le texte que vous écrivez (ou que vous citez car ce n'est pas clair pour moi où vous avez pris ce texte).

"Le procureur de la République de Lille Philippe Lemaire annoncé vendredi 18 mars au cours d’une conférence de presse qu’il avait a requis la mise en examen de trois élèves et d’un ancien élève du collège Sévigné de Roubaix (Nord) interpellés mercredi et jeudi. pour "fabrication et détention d’engins explosifs" et "violence avec arme n’ayant pas entraîné une incapacité de travail supérieure à huit jours", Il a précisé qu’ils risquaient cinq ans d’emprisonnement."

Et vous tombez des nues lorsqu'on parle d'explosifs ?
Est-ce que ce texte que vous citez s'applique bien à l'histoire dont on parle ?

Si c'est le cas, pour quelqu'un qui veut parler de cette histoire et de l'intervention des policiers, ce n'est pas un détail de se demander ce que ces jeunes ont réellement fait car selon le type de substance impliqué, ça conditionne l'intervention des policiers, plus ou moins urgente bien évidemment.

Si un jeune tirait de l'acide sur les gens et qu'en plus il était soupçonné d'avoir de la dynamite, c'est bien que les policiers l'aient menotté au plus vite je trouve. Les policiers ne sont pas entrainer pour faire plaisir à la gauche ou à la droite ou pour être psychologue pour ados, ils sont entrainés pour agir selon la dangerosité de la situation.

Après seulement viendront les psychologues et les commentaires plus ou moins fondés dans la presse ou internet de gens qui ont chacun leurs lunettes roses ou bleus.

Régis

Voilà où mène les amalgames et la récup d'un mouvement.
Certains veulent faire glisser le sujet sur une déviance raciste.
Dans le même genre, Régis vous faites pareil. En entroduisant la notion de bombe dans votre réponse.
Ce n'est pas parce qu'un chef d'inculpation est émis par le procureur général, que ce chef d'inculpation sera retenu.
Je voie plus les coupables du côté des pouvoirs publics locaux, car d'avoir laissé la situation pourrir, cela a permis aux médias de faire mousser un simple fait divers. Fait plus ou moins grave, mais restant néenmoins un fait divers.
Hors sujet: Si vous passez sur la page de Libération, n'oubliez pas d'aller sur celle mise en place pour le soutient de Florence et Hussein.
///////////////
http://www.liberation.fr/page.php?Article=285317
La pétition se veut une réponse aux incidents lors des manifestations lycéennes.
Malaise après un appel contre le «racisme anti-Blancs»
Par Blandine GROSJEAN
samedi 26 mars 2005 (Liberation - 06:00)

un appel dénonçant des «ratonnades anti-Blancs» lors des récentes manifestations lycéennes a été lancé vendredi à l'initiative du mouvement de jeunesse sioniste progressiste Hachomer Hatzaïr et de Radio Shalom. Aux côtés d'un millier de lycéens, sept personnalités ont signé: le théologien musulman Galheb Bencheikh, le cinéaste Elie Chouraqui, l'écrivain d'origine iranienne Chahdortt Djavann (auteur de Bas les voiles), l'éditorialiste Jacques Julliard, l'ancien ministre Bernard Kouchner, le chercheur Pierre-André Taguieff, qui a écrit en 2002 la Nouvelle Judéophobie et le philosophe Alain Finkielkraut

Voilà où mène les amalgames et la récup d'un mouvement.
Certains veulent faire glisser le sujet sur une déviance raciste.

J'aurais mis "certain" au singulier et j'aurais même singulariser ce "certain" en disant que c'est Zoubida qui fait de la déviance raciste.

Quant à moi, je ne sais même pas de quel mouvement vous parlez, est-ce qu'il existe un mouvement en France qui est favorable à ce qu'on tire de l'acide aux gens ?

Et pour être raciste, il faudrait que je sache de quelle race étaient les inculpés et ça ne m'a pas passé par l'idée de m'intéresser à cette question jusqu'à maintenant.

On dirait que vous présumez que tout le monde sait cette historiette par coeur pour l'avoir vu à la télé et qu'il a bien en tête le background culturel de ce fait divers qui s'est passé dans votre ville. J'ai crû comprendre que vous vous intéressiez beaucoup à ce qui se passe dans votre ville et vous méritez surement des éloges pour ça, mais là, essayer de garder pésent dans votre esprit que vous écrivez sur un site où il n'y pas que des gens de la ville de Roubaix qui viennent.

Ça vous a peut-être échappé mais je n'habite pas en France et cette nouvelle n'est pas parvenue jusqu'à moi par la télévision. Ce que je sais de l'histoire c'est en lisant votre texte plus haut où il est bel et bien question d'explosifs. (je tiens absoluement à ce que vous lisiez ce texte...)

Vous me dites maintenant qu'en France le procureur général émet des chefs d'accusations pour agrémenter le récit parce qu'autrement on s'ennuirait à sa lecture ? La justice française ne cesse de m'étonner (j'ai eu mes premiers .moi en lisant l'histoire d'un jeune qui tue père et mère et que le tribunal ne pouvait incarcérer.)

Admettons qu'il n'y a pas d'explosifs dans l'histoire, le procureur s'est trompé donc et vous avez raison. Une fois que je vous ai apporté une grande satisfaction en vous donnant raison, est-ce que vous allez accepter de répondre simplement à ma question :

Selon vous, est-ce qu'il reste un jeune qui tire de l'acide sur d'autres gens dans cet histoire ?

Si oui ? Est-ce qu'il faut tenir compte de sa race, ou de d'autres considérations, avant d'arrêter son action ?

Là c'est sûr que j'abuse, j'annonce une question et j'en pose 2.
Vous allez avoir une petite crise d'énervite aigue et vous ne répondrez pas mais j'écris un peu pour les autres aussi, ceux qui sont plus calmes que vous, disons ça comme ça...

Parce ce que moi j'intervenais seulement sur cet aspect de la question, je disais que la situation était urgente et que la police se devait d'intervenir. Et je croyais aller dans le sens du texte que vous citiez (ou écriviez) car vous êtes trop énerbrouillé pour indiquer clairement vos sources.

Maintenant, je vous laisse tordre ce fait divers jusqu'à en tirer la dernière goutte de jus de persécution que vous pourrez en tirer. Je vous redis simplement à la suite de quidam que vous êtes mêlé, et que le récit de l'histoire peut se passer de couleurs de peaux ou d'appartenance à un parti politique quelconque.

Truc du jour : La tisane à la camomille aide à la relaxation.

Régis

Régis a écrit:

Voilà où mène les amalgames et la récup d'un mouvement.
Certains veulent faire glisser le sujet sur une déviance raciste.

J'aurais mis "certain" au singulier et j'aurais même singulariser ce "certain" en disant que c'est Zoubida qui fait de la déviance raciste.

Quant à moi, je ne sais même pas de quel mouvement vous parlez, est-ce qu'il existe un mouvement en France qui est favorable à ce qu'on tire de l'acide aux gens ?

Et pour être raciste, il faudrait que je sache de quelle race étaient les inculpés et ça ne m'a pas passé par l'idée de m'intéresser à cette question jusqu'à maintenant.

On dirait que vous présumez que tout le monde sait cette historiette par coeur pour l'avoir vu à la télé et qu'il a bien en tête le background culturel de ce fait divers qui s'est passé dans votre ville. J'ai crû comprendre que vous vous intéressiez beaucoup à ce qui se passe dans votre ville et vous méritez surement des éloges pour ça, mais là, essayer de garder pésent dans votre esprit que vous écrivez sur un site où il n'y pas que des gens de la ville de Roubaix qui viennent.

Ça vous a peut-être échappé mais je n'habite pas en France et cette nouvelle n'est pas parvenue jusqu'à moi par la télévision. Ce que je sais de l'histoire c'est en lisant votre texte plus haut où il est bel et bien question d'explosifs. (je tiens absoluement à ce que vous lisiez ce texte...)

Vous me dites maintenant qu'en France le procureur général émet des chefs d'accusations pour agrémenter le récit parce qu'autrement on s'ennuirait à sa lecture ? La justice française ne cesse de m'étonner (j'ai eu mes premiers .moi en lisant l'histoire d'un jeune qui tue père et mère et que le tribunal ne pouvait incarcérer.)

Admettons qu'il n'y a pas d'explosifs dans l'histoire, le procureur s'est trompé donc et vous avez raison. Une fois que je vous ai apporté une grande satisfaction en vous donnant raison, est-ce que vous allez accepter de répondre simplement à ma question :

Selon vous, est-ce qu'il reste un jeune qui tire de l'acide sur d'autres gens dans cet histoire ?

Si oui ? Est-ce qu'il faut tenir compte de sa race, ou de d'autres considérations, avant d'arrêter son action ?

Là c'est sûr que j'abuse, j'annonce une question et j'en pose 2.
Vous allez avoir une petite crise d'énervite aigue et vous ne répondrez pas mais j'écris un peu pour les autres aussi, ceux qui sont plus calmes que vous, disons ça comme ça...

Parce ce que moi j'intervenais seulement sur cet aspect de la question, je disais que la situation était urgente et que la police se devait d'intervenir. Et je croyais aller dans le sens du texte que vous citiez (ou écriviez) car vous êtes trop énerbrouillé pour indiquer clairement vos sources.

Maintenant, je vous laisse tordre ce fait divers jusqu'à en tirer la dernière goutte de jus de persécution que vous pourrez en tirer. Je vous redis simplement à la suite de quidam que vous êtes mêlé, et que le récit de l'histoire peut se passer de couleurs de peaux ou d'appartenance à un parti politique quelconque.

Truc du jour : La tisane à la camomille aide à la relaxation.

Régis

Houla mais c'est qu'il fait fort le Régis.
On s'en embrouillerais même les pensées avec tout ce baratin inutile.
Vous introduisez la notion de bombe.
Le procureur à parlé de fabrication d'engin à carractère explosif.
Pour votre information, cela est un fait divers ayant un gout de déjà vu. Un autre lycée de ma ville a lui aussi subi l'année dernière un truc similaire. Et l'on a trouvé aussi de ces engins dans un autre quartier à l'opposée de la ville. Hors du milieu scolaire
La justice ceci ou la justice cela, je m'en contre fiche. Celle que sucite le palais de justice de Lille, n'est pas crédible à mes yeux. Question de connaissance de certains dossiers.
Mes sources sont à la bases car c'est aussi mon job d'aller chercher l'info. Et de la retransmettre à mes lecteurs sans déformer cette info. J'en reste donc au fait initial. Un collège de ma ville voie le climat se détériorer et en fait écho publiquement.
Les autorités compétentes ne font rien pour calmer le jeu.
Lorsque cela éclate, la presse de Navare s'en empare et se graisse la paluche sur le sujet.
Pour en arriver à une extrèmité que vous avalisez, à savoir l'arrestation d'un mineur dans des conditions, que je trouve désastreuses.
Vous vous permettez en plus de me désigner comme une personne éventuellement raciste et jouant sur une certaine victimisation. Je me marre, car je suis métisse. Et revendique mes deux origines. En outre, je vous faisais remarquer que la thèse du racisme ne tenait pas à mes yeux. Et c'est pour cela que je vous ai mis en parti l'article de Blandine. Pour vous montrer que c'est très vite fait de dévier du sujet et d'extrapoler pour ne plus en voir que ce que l'on souhaite.
Autre chose, vous avez affaire à une personne posée et des plus calme, pas à une furie devant se gaver de tisane calmente. La camomille je n'aime pas, vous pouvez vous la garder.

Il n'y a que dans votre imagination que j'ai employé le mot "bombe" sinon précisez où je l'ai fait. J'ai cité l'accusation du procureur qu ia parlé d'explosifs.

Et vous n'êtes pas encore assez calme pour parler de l'élément central de cette histoire et répondre à ma question qui est est-ce qu'il a un jeune qui tirait de l'acide sur des gens et si oui qu'est-ce que le policier devrait attendre ou faire avant de l'arrêter ?

Régis